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mercredi 24 décembre 2025 - 12h39
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Une fois, isolés dans ma chambre close, je l'ai senti relever doucement relevé ma fine combinaison, je le regardai avec approbation ... je me suis allonée sur le lit ... je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement, je libérais son sexe que je pris doucement dans ma main, le sentant grandir et grossir sous mes doigts. Il s'est alors installé sur moi ... et tout en le sentant glisser ses mains sous la soie, j'ai senti sa dure et longue verge chercher sa voie entre mes grandes lèvres déjà bien humidifiées,
il continuait pendant ce temps à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'avais besoin de lui, J'étais toute chaude et trempée. Et je l'ai laissé s'allonger sur mon corps. C'est quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes que je me suis mise à tressaillir. Son sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches et je m'appretais à m'abandonner totalement. C'est alors qu'il me penetra, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Il s'est enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Je me suis offerte à lui, nue, les jambes légèrement écartées ... , mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, lui confiant le bonheur que je ressentais.
Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes.
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. Je lui déclarai que le moment était arrivé, j'étais prête ! J'avais envie de lui, envie de jouir avec lui, envie de le sentir m'envahir, me remplir ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait,
Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais de plaisir, épuisée par notre corps à corps intense. Un peu de sueur collait mes cheveux.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.





J'ai alors senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison de soie. Le feu était en train de prendre naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent doucement. il commençait à me caresser l'intérieur de mes cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu dejà trempé.
J'ai étouffé un gémissement. Il avait passé un doigt sous l'élastique de la culotte, Sa main effleurait mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Deux caresses intimes, Ses doigts s’attardaient, puis s'introduisirent, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il n'en fallait pas plus pour que je chavire dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main, puis ... je retombai ... inerte, en sueur. Je tentai de reprendre le controle de la situation
Apres avoir repris mes esprits, je le regardai, un peu perdue et desemparée par ce qui était en train de se produire entre nous. Il avait ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, puis il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement mes mamelons que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour me ressaisir.

je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement, je libérais son sexe que je pris doucement dans ma main, le sentant grandir et grossir sous mes doigts. il continuait pendant ce temps à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'avais besoin de lui, J'étais toute chaude et trempée. Et je l'ai laissé venir et s'allonger sur mon corps. C'est quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes que je me suis mise à tressaillir. Son sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches et je m'appretais à m'abandonner totalement. C'est alors qu'il me penetra, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. Je résistais, tres mollement ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée et à la fois impatiente, il ne s'arretait pas ! Je sentais son membre grossir de plus en plus, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression.
Il chercha à me rassurer mais mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression dans mes chairs. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Mon excitation était à son comble. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment. Je sentais son pubis collé contre le mien, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. J'étais remplie de lui, de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de sa queue. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser dans ma chair, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi,
C'est alors que je l'ai senti venir .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... Il s’est immobilisé, sa verge se contracta au fond de mes entrailles ... et il lâcha les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jaillissait dans mon ventre ! ..
Un flot de semence se répandait en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
Mes hanches ont recommencé pourtant à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence.
Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume.
Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, .
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Monsieur dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.

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