Tandis que Cyr de son visage Entre les seins en sueur nage
Tout en remuant sa verge douce Dans la vulve chaude mousse
Et que Marc s'escrime entre les fesses offertes De la diva libertine en état d'alerte,
Celle-ci soudain explose de joie Tous ses sens aux abois,
Hurlant à tout vent son plaisir d'enfin par ces pines ô jouir !
Secouée de spasmes incontrôlables Epuisant son désir insatiable
Jane s'écroule alors au sol Affalée, béante, offerte,
Seins déployés, cuisses grandes ouvertes Entre les deux hommes qui s'affolent
Bites en poupe et luisantes, A l'air libre toutes tremblantes.
Se saisissant de leurs pieux solitaires Les voilà qui se branlent avec ferveur
Et jouissent ensemble, compagnons solidaires,
Sur le corps de Jane où brille déjà la sueur !
Une cascade de foutre s'abat sur sa peau
zébrant ses cuisses, sa bouche, son ventre, ses seins...
Elle se tord de jouissance à nouveau
S'offrant sans retenu à cet étrange et torride bain.
C'était bien la peine de s'être sêchés...
Après l'orage du dehors Est venu celui des corps
Tout encore serait-il à recommencer ?
Sûr que Jane qui aime trop ces bites bien dures
Fera tout pour que ces corps à corps encore durent