J'entrai dans ce salon immense, occupé par tous ce monde que je ne connaissais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... entourée d'une dizaine d'invités visiblement sous le charme. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser, Nos regards se sont télescopés, l'espace d'un éclair ... et, d'un coup, l'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, peut-être reciproque, qui traversait l'espace. il n'y avait plus personne il y avait deux êtres, deux désirs ... Temps suspendu. Ses longs cheveux noirs étaient retenus avec art. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... comment se capter l'un l'autre, la faire succomber.
Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. nouveau croisement de regards. Moment intense. Immobile violence. Elle était maintenant toute proche, une si belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, continuant à briller face à tout son entourage. Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Nuque pâle, tête inclinée. Un decolleté genereux sur une gorge affolante, ne cachant que très peu de delicieuses poitrines qui tremblaient doucement sous mes yeux, au rythme de sa respiration. J'avais chaud. je ne crois pas que cela provenait de la température.
Elle tourna une nouvelle fois son regard dans ma direction, me remarqua, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation ni brusquerie. Elle semblait s'attendre à ce rapprochement et finit par me sourire. Et quand nos regards se croisèrent enfin, quand je découvris son visage, j’entamai la conversation avec des banalités. Mais elle était réceptive, tour à tour grave et ironique. Elle disait se sentir bien ici. Car au moins on ne la jugeait pas. Puis, peu à peu, je lui fis comprendre que, contrairement à beaucoup, j’étais un homme bienveillant vis a vis des femmes. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur. Je lui faisai part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras, m'emmena un peu à l'écart et me fit cette remarque
- Mais ... dites-moi ? Est-ce qu'au moins, je vous plais ? me lanca-t-elle avec un mélange d’impudeur et de retenue
Elle me provoquait. De plus en plus gêné par une reaction physique inappropriée de mon corps, je tentais de la dissimuler jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille, on est pas bien içi ? ...
Je me suis alors laissé aller à bander sans retenue. Je voyais se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Elle se rapprocha de moi en me soufflant quelques mots à l'oreille d'une voix à peine perceptible, comme si elle me confiait un secret.
Faisant comme si je n'avais rien entendu, je la regardais, un peu déboussolé, je sentais contre moi sa poitrine se gonfler au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, ne sachant pas vraiment comment reagir.
- cette soirée est très sympathique, vous ne trouvez pas ? lui demandai-je, un peu déstabilisé
Elle ne quitta pas mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, et me reprenant fermement
- Vous m'avez entendu ? insista-t'elle d'une voix à peine plus distincte, ... J'ai envie de baiser !
Je faignai d'avoir mal entendu. Elle se serra un peu plus contre moi. Je bandais sans retenue ! Elle dut le remarquer, j'eu à peine le temps de reagir en louant ses charmes mysterieux, qu'elle s'approcha un peu plus, passa son bras autour de ma taille, prit ma main et me souffla à l'oreille:
- J’aime me sentir pleine du désir d'un homme. J’aime savoir votre esprit excité,
- Ai-je des charmants dessous ? de soie et de dentelle ? ou peut-être rien du tout ?
- Votre regard est brulant ! ... Non, ne rougissez pas !
- Vous eveillez des sensations troublantes sur mon sein. Mon corps déjà frémit sous le satin,
- Votre douce odeur me grise et m'attire, et votre chemise entrouverte m'invite à tous les délires.
- mes lèvres sont brûlantes de désirs ... Et ... Est-ce que j'ose vous dire ? ...
- Mais .... venez ! ... Ne restons pas là ....
Elle m’entraina alors dans la pièce voisine qui semblait inoccupée.
Une fois isolés, a l'abri des regards, elle attira ma tête, glissa une main sur ma nuque et dans mes cheveux
- Approchez ! ... J'ai un secret ... pour vous !
- Je suis la femme la plus profonde et la plus etroite dont vous puissiez rêver
- Votre verge est bien longue et bien dure ! ... Venez donc vite me la mettre !
- Vous m'avez bien entendue ? J'ai envie d'être baisée ! là ... Tout de suite !
- Et je veux que ce soit par vous !
Puis, telle une ventouse, prit mes lèvres. Elle commença à m’embrasser sur la bouche, puis elle plongea sa langue à la recherche de la mienne. Si mes mains étaient avides de ses seins et de son ventre, les siennes n’étaient pas moins prestes à evaluer ma virilité. le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle me caressait la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre, melangeant nos salives ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Le frottement de la soie sur ses cuisses m'excitait ...
Je glissais ma main sous sa robe, je relevai ses dessous et atteignai ses tresors.... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Le temps s'arrêta ... jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle me fusilla du regard:
- Je n'ai rien sous ma robe ! ... Viens vite !
Sans attendre et dans la fièvre je relèvais sa robe, tendis qu'elle ouvrait mon pantalon. Adossée contre la cloison, ses jambes enlaçant mes hanches, je la penetrai naturellement, sans effort. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage.
- Mets la moi bien profonde ! Que je te sente bien glisser dans ma chair !
Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Elle se donnait peu à peu, et gémissait pendant que je la conduisais au plaisir. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait ...
- Plus vite ! ... Bien au fond ! ...
Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement.
- Maintenant ! Viens vite ! Décharge !
Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit