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jeudi 18 décembre 2025 - 02h44
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Il m'a allongée sur le grand canapé, il s'enfonce dans mes entrailles. La sensation est puissante. Il s'arrete un moment ... reprend. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. Son membre palpite dans ma chair, je suis secouée d'un spasme. le frottement de son sexe m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion terriblement excitant. Il plonge en moi et gonfle en meme temps. Il occupe mon espace tout entier. Il m'interroge
- Tu veux maintenant ?
- Non pas encore ... Continue !
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde fixement. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Decharge ! Vite ! ... Bien au fond !
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net et crispe son regard, ses jambes tremblent et se figent, il pousse un long râle. Il se lache et gicle en moi par salves successives, c'est un envahissement chaud. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur.
Je suis prise de tremblements de tout mon corps. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne sais plus où je suis, J’ai sens les derniers soubresauts de son sexe qui finit de se répandre en moi,
Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné.
Il se retire doucement, liberant un flot de sécrétions puis il s’échappe totalement, dans un indécent glissement mouillé, accompagné d’un torrent de son jus qui me coule maintenant, abondamment entre les fesses.
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