Lucas Muller dit CRANACH l'Ancien (1472-1553) - auto-portraitLucas Müller dit Lucas Cranach l’Ancien, né le 4 octobre 1472 à Kronach en Haute-Franconie (Allemagne) et décédé le 16 octobre 1553 à Weimar (Allemagne), est un peintre et graveur de la Renaissance allemande. Son patronyme dérive celui de sa ville natale. Il est le père de Lucas Cranach le Jeune (4 octobre 1515 - 1586). son style, proche de celui d'Albrecht Dürer, d’Albrecht Altdorfer se caractérise par la prédominance des paysages agités, aux couleurs fastes, emplis d’une quantité de détails et de symboles, d’un lyrisme exacerbé, paysages quasi surréalistes où la tension psychologique est palpable, espaces vitaux dans lesquels s’insèrent avec harmonie des personnages élaborés et à l’expression énigmatique. Il s’établit à Wittenberg en 1505 et devient peintre de cour auprès de l’électeur de Saxe Frédéric le Sage, il est anobli en 1509. Son activité change. Ses protecteurs, comme le cardinal Albert IV de Brandebourg attendent de lui non seulement des retables et des portraits mais aussi des œuvres décoratives pour leurs fêtes et les intérieurs de leurs nombreuses demeures. Pour faire face aux nombreuses demandes, Cranach met sur pied un atelier où ses deux fils travaillent[2]. À partir de cette date, il tourne le dos à la spontanéité de sa période viennoise et son art s’oriente alors vers un style s’approchant du maniérisme : les formes s’allongent, deviennent plus souples, les personnages prennent de l’importance par rapport au paysage devenu simple décor et leurs différentes poses sont élaborées et codifiées, l’habillage raffiné. Certains historiens de l'art voient dans ce changement le début de la décadence qui va s'accentuant après 1525 alors que d'autres jugent la production des années 1505 à 1525 d'égale valeur, quoique très différente de celle des années viennoises Lucas Müller dit Lucas Cranach l’Ancien, né le 4 octobre 1472 à Kronach en Haute-Franconie (Allemagne) et décédé le 16 octobre 1553 à Weimar (Allemagne), est un peintre et graveur de la R ... |
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Lucas CRANACH l'ancien - la chasse au cerf... |
Lucas CRANACH l'ancien - les trois grâcesLe traitement du thème classique des Trois Grâces par Lucas Cranach est original dans la mesure où une certaine ironie semble se mêler à la sensualité attendue du sujet. Les Trois Grâces a été peint en 1531. Il s'agit d'un tableau de petit format (24 cm x 37 cm) qui n'a jamais été exposé au public.Resté jusqu'à ce jour aux mains de collectionneurs privés, le musée du Louvre s'en est porté acquéreur le 17 décembre 2010 suite à une campagne d'appel aux dons. Lucas Müller dit Lucas Cranach l’Ancien, né le 4 octobre 1472 à Kronach en Haute-Franconie (Allemagne) et décédé le 16 octobre 1553 à Weimar (Allemagne), est un peintre et graveur de la Renaissance allemande. Son patronyme dérive celui de sa ville natale. Il est le père de Lucas Cranach le Jeune (4 octobre 1515 - 1586). peinture, allemagne, huile 24x37, Paris, Musee du Louvre Le traitement du thème classique des Trois Grâces par Lucas Cranach est original dans la mesure où une certaine ironie semble se mêler à la sensualité attendue du sujet. Les Trois Grâces a & ... |
Lucas CRANACH l'ancien - dame et son chien... |
Lucas CRANACH l'ancien - Henry le pieux, Duc de SaxeLucas Cranach d. Ä. Kronach 1472 - 1553 Weimar . 1514 / ohne Rahmen<BR>Material/Technik: Gemälde / Öl auf Lindenholz, auf Leinwand übertragen<BR>Bildmaß: 184,5 x 83 cm<BR>Inventar-Nr.: 1906 G<BR>, Artist: Lucas Cranach d.Ä. Lucas Cranach d. Ä. Kronach 1472 - 1553 Weimar . 1514 / ohne Rahmen<BR>Material/Technik: Gemälde / Öl auf Lindenholz, auf Leinwand übertragen<BR>Bildmaß: 184,5 x 83 cm<BR>Inventar-Nr.: 1906 G<B ... |
Lucas CRANACH l'ancien - Hercule à la cour d'OmphaleCRANACH, Hans_Hércules en la corte de Onfalia_108 Museo Thyssen- Bornemisza(1929.15) CRANACH, Hans_Hércules en la corte de Onfalia_108 Museo Thyssen- Bornemisza(1929.15) ... |
Lucas CRANACH l'ancien - vieillard et courtisane... |
Lucas CRANACH l'ancien - Marie avec enfant et anges... |
Lucas CRANACH l'ancien - jugement dernier (d'après Jerome Bosch)... |
Lucas CRANACH l'ancien - martyre de Sainte Barbe... |
Lucas CRANACH l'ancien - le jugement dernier... |
Lucas CRANACH l'ancien - la fontaine de jeunesse... |
Lucas CRANACH l'ancien - allegorie de la loi et la grâce... |
Lucas CRANACH l'ancien - décapitation de Saint Jean... |
Lucas CRANACH l'ancien - portrait de Martin Luther... |
Lucas CRANACH l'ancien - trois grâces... |
Lucas CRANACH l'ancien - la chasse au cerf... |
Lucas CRANACH l'ancien - Adam et Eve... |
Lucas CRANACH l'ancien - vierge et enfant avec du raisin... |
Lucas CRANACH l'ancien - jugement dernier (d'après Jerome Bosch)... |
Lucas Cranach the Younger and Workshop (German, Wittenberg 1515–1586 Wittenberg) Christ Blessing the Children, ca. 1545–50 Oil on wood; 6 1/2 x 8 3/4 in. (16.5 x 22.2 cm) The Metropolitan Museum of Art, New York, The Jack and Belle Linsky Collection, 1982 (1982.60.36) http://www.metmuseum.org/Collections/search-the-collections/436035 Lucas Cranach the Younger and Workshop (German, Wittenberg 1515–1586 Wittenberg) Christ Blessing the Children, ca. 1545–50 Oil on wood; 6 1/2 x 8 3/4 in. (16.5 x 22.2 cm) The Metropolitan Museum of Art, New York, The Jack and Be ... |
Lucas CRANACH l'ancien - Judith avec la tête de HollopherneLa scène peinte par Cranach est issue de l'Ancien Testament (Livre de Judith, 13:8-116), et représente la veuve Judith qui, après avoir séduit le général assyrien Holopherne, l'assassine dans son sommeil pour sauver son peuple du tyran pendant le siège de Béthulie. Le style de Cranach, proche de celui d’Albrecht Dürer, ou d’Albrecht Altdorfer, se caractérise par des couleurs fastes, emplis d’une quantité de détails et de symboles, d’un lyrisme exacerbé, scènes quasi surréalistes où la tension psychologique est palpable, espaces vitaux dans lesquels s’insèrent avec harmonie des personnages élaborés et à l’expression énigmatique. La scène peinte par Cranach est issue de l'Ancien Testament (Livre de Judith, 13:8-116), et représente la veuve Judith qui, après avoir séduit le général assyrien Holopherne, l'assassine dans son so ... |
Lucas CRANACH l'ancien - le Christ bénissant les enfantsÀ Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain d'un des enfants de l'autre7. Acquis aux idées luthériennes, Cranach participera dès lors à la création de l’iconographie protestante, représentant des thèmes chers à la Réforme, tirés de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament, introduisant quelquefois des citations de la Bible. Il peint également de nombreux portraits et scènes religieuses qui lui assurent la célébrité dans toute l’Europe, et à partir de 1525, intensifie son activité avec l’aide de ses fils, Hans et Lucas, et probablement d’un atelier important. À Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain ... |
Lucas CRANACH l'ancien - au jardin de Getsemani... |
Lucas CRANACH l'ancien - la femme adultère... |
Lucas CRANACH l'ancien - portrait d'une dame... |
Lucas CRANACH l'ancien - mélancolie... |
Lucas CRANACH l'ancien - Adam et Eve... |
Lucas CRANACH - retable de la sainte famille (panneau central)Altarpiece of the Holy Family (central panel). 1509. Oil on panel. 58.5 x 45 cm (23 1:16 x 17 11:16 in.). Stadelsches Kunstinstitut, Frankfurt, Germany Altarpiece of the Holy Family (central panel). 1509. Oil on panel. 58.5 x 45 cm (23 1:16 x 17 11:16 in.). Stadelsches Kunstinstitut, Frankfurt, Germany ... |
Lucas CRANACH ) - la charitéCertains historiens de l'art voient dans ce changement de style de Cranach le début de la décadence qui va s'accentuant après 1525. D'autres jugent la production des années 1505 à 1525 d'égale valeur, quoique très différente de celle des années viennoises. Cette simplification voulue des formes, des compositions et des couleurs permet à l'atelier de copier à la demande, avec de simples variantes, les créations du maitre. Cranach crée ainsi une figure féminine idéale et stylisée sur des canons anti-classiques. Cette figure gracile, représentée le plus souvent avec des déformations onduleuses, a été interprétée comme une persistance du gothique ou une participation au maniérisme international. Le pouvoir de séduction de l'artiste réside dans l'utilisation du pouvoir suggestif de la ligne sinueuse et du contraste des couleurs disposées en larges surfaces. Caritas. 1534. Mixed media on red beechwood. 52 x 36 cm (20 1:2 x 14 3:16 in.). Museum zu Allerheiligen, Schaffhausen, Switzerland Certains historiens de l'art voient dans ce changement de style de Cranach le début de la décadence qui va s'accentuant après 1525. D'autres jugent la production des années 1505 à 1525 d'égale valeu ... |
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Lucas CRANACH - Judith dinant avec HolopherneNabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad (cf. Judith I, 1). Après avoir pillé, tué et ravagé dans tout le Proche-Orient, Holopherne assiège Béthulie, une ville juive (probablement Massalah) qui barre un passage dans les montagnes de Judée. Comme l'eau vient à manquer, les habitants sont sur le point de se rendre, mais une jeune veuve, Judith, d'une extraordinaire beauté et d'une richesse considérable, prend la décision de sauver la ville. Avec sa servante et des cruches de vin elle pénètre dans le camp d'Holopherne ; ce dernier est tout de suite ensorcelé par la beauté et l'intelligence de cette femme ; il organise en son honneur un grand banquet à la fin duquel ses domestiques se retirent discrètement pour ne pas troubler la nuit d'amour qui, pensent-ils, attend leur maître. Mais elle continue à l'enivrer et, quand il est hors d'état de se défendre, elle le décapite avec l'aide de sa servante et revient à Béthulie avec la tête. Quand les soldats découvrent au matin leur chef assassiné, ils sont pris de panique : les uns s'enfuient et les juifs vainquent facilement ceux qui restent. Nabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad (cf. Judith I, 1). Après avoir pill&eacu ... |
Lucas CRANACH - Judith avec la tête d'HolophernesNabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad. Après avoir pillé, tué et ravagé dans tout le Proche-Orient, Holopherne assiège Béthulie, une ville juive qui barre un passage dans les montagnes de Judée. Comme l'eau vient à manquer, les habitants sont sur le point de se rendre, mais une jeune veuve, Judith, d'une extraordinaire beauté et d'une richesse considérable, prend la décision de sauver la ville. Avec sa servante et des cruches de vin elle pénètre dans le camp d'Holopherne ; ce dernier est tout de suite ensorcelé par la beauté et l'intelligence de cette femme ; il organise en son honneur un grand banquet à la fin duquel ses domestiques se retirent discrètement pour ne pas troubler la nuit d'amour qui, pensent-ils, attend leur maître. Mais elle continue à l'enivrer et, quand il est hors d'état de se défendre, elle le décapite avec l'aide de sa servante et revient à Béthulie avec la tête. Quand les soldats découvrent au matin leur chef assassiné, ils sont pris de panique : les uns s'enfuient et les juifs vainquent facilement ceux qui restent. Lucas Cranach l'Ancien, Judith avec la tête d'Holopherne, vers 1530, Kunsthistorisches Museum, Vienne. Nabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad. Après avoir pillé, tué et ... |
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Lucas CRANACH - le jugement de ParisDans leurs représentations du "Jugement de Pâris", les Grecs ne jugeaient pas utile de montrer les déesses (Aphrodite, Héra et Athéna) dans leur nudité. C'est que, pour eux, le concours ne portait pas sur la beauté au sens où nous l'entendons, mais sur les attraits des déesses, qui étaient aussi inséparables de leurs attributs (richesse et fécondité, souveraineté, force militaire) que de leurs accessoires (le casque ou le bouclier d'Athéna, la ceinture d'Aphrodite) ou de leurs vêtements. Mais à l'époque de Cranach, au début du 16ème siècle, il en allait déjà tout à fait autrement. Pas question de juger de leur beauté sans les voir, et de préférence dans le plus simple appareil. Pâris exigeait de contempler le corps divin pour s'en faire une idée. Cranach montre les trois déesses dans leur beauté charnelle. Pâris, qui semble tombé de son cheval, en est tout retourné. Pour comparer, il faut bien qu'il regarde ces corps dans toute leur différence. Ce n'est pas affaire de métaphysique, mais de désir. Malgré leur air de ressemblance (qui fait plutôt penser à la beauté idéale), ce ne sont pas des modèles, mais de vraies femmes (même si la récompense donnée par Aphrodite n'a pas été son propre corps, mais celui d'Hélène). La preuve : au moment de recevoir la pomme, Aphrodite, et elle seule, a les cheveux dénoués. Certains historiens de l'art voient dans ce changement de style de Cranach le début de la décadence qui va s'accentuant après 1525. D'autres jugent la production des années 1505 à 1525 d'égale valeur, quoique très différente de celle des années viennoises. Cette simplification voulue des formes, des compositions et des couleurs permet à l'atelier de copier à la demande, avec de simples variantes, les créations du maitre. Cranach crée ainsi une figure féminine idéale et stylisée sur des canons anti-classiques. Cette figure gracile, représentée le plus souvent avec des déformations onduleuses, a été interprétée comme une persistance du gothique ou une participation au maniérisme international. Le pouvoir de séduction de l'artiste réside dans l'utilisation du pouvoir suggestif de la ligne sinueuse et du contraste des couleurs disposées en larges surfaces. Dans leurs représentations du "Jugement de Pâris", les Grecs ne jugeaient pas utile de montrer les déesses (Aphrodite, Héra et Athéna) dans leur nudité. C'est que, pour eux, le concours ne ... |
Lucas CRANACH - Vénus avec Cupidon le voleur de mielLe thème s'inspire d'une fable de l'Antiquité grecque : On y raconte que Cupidon vola du miel à des abeilles qui le piquèrent. Il se plaignit alors à sa mère Vénus qu'il était injuste qu'une si petite créature (l'abeille) provoque autant de douleur. A quoi Vénus lui répond que lui aussi, Cupidon, était petit, mais que ses flèches de l'amour pouvaient, elles aussi, faire très mal. L'amour donc est à la fois douceur sucrée comme le miel, et amertume et douleur brûlante. On mentionnera également une interprétation plus triviale parfois évoquée: les piqûres des abeilles (ou des flèches) ne sont pas que sentimentales : comme de nombreux textes contemporains mettant en garde contre «le danger des plaisirs transitoires», elles faisaient aussi référence aux maladies vénériennes qui faisaient rage à l'époque, diffusées par des décennies de conflits féodaux, puis religieux. l'inscription en haut à droite: « DUM PUER ALVEOLO FUTATUR MELA CUPIDO/ FURANTI DIGITUM CUSPIDE FIXIS APIS/ SIC ETIAM NOBIS BREVIS ET PERITURA VOLUPTAS/ QUAM PETIMUS TRISTI MIXTA DOLORE NOCET. » [Alors que Cupidon volait du miel de la ruche / Une abeille piqua le voleur sur le doigt / Et s'il nous arrive aussi de rechercher des plaisirs transitoires et dangereux/ La tristesse vient se mêler à eux et nous apporte la douleur. ]. Le thème s'inspire d'une fable de l'Antiquité grecque : On y raconte que Cupidon vola du miel à des abeilles qui le piquèrent. Il se plaignit alors à sa mère Vénus qu'il était injuste ... |
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Lucas CRANACH l'ancien - le jugement dernierÀ Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain d'un des enfants de l'autre. Acquis aux idées luthériennes, Cranach participera dès lors à la création de l’iconographie protestante, représentant des thèmes chers à la Réforme, tirés de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament, introduisant quelquefois des citations de la Bible. Il peint également de nombreux portraits et scènes religieuses qui lui assurent la célébrité dans toute l’Europe, et à partir de 1525, intensifie son activité avec l’aide de ses fils, Hans et Lucas, et probablement d’un atelier important. À Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain ... |
Lucas CRANACH l'ancien - allegorie de la loi et la grâceÀ Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain d'un des enfants de l'autre7. Acquis aux idées luthériennes, Cranach participera dès lors à la création de l’iconographie protestante, représentant des thèmes chers à la Réforme, tirés de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament, introduisant quelquefois des citations de la Bible. Il peint également de nombreux portraits et scènes religieuses qui lui assurent la célébrité dans toute l’Europe, et à partir de 1525, intensifie son activité avec l’aide de ses fils, Hans et Lucas, et probablement d’un atelier important. À Wittemberg, Cranach fait la connaissance de Martin Luther avec qui il se lie d’amitié (et dont il réalisera de nombreux portraits). Luther et lui étaient amis intimes, chacun étant aussi le parrain ... |
Lucas CRANACH l'ancien - Lot et ses filles... |
Lucas CRANACH l'ancien - judith... |
Lucas CRANACH le jeune - Lot et ses filles... |