arpoma l'art par la musique
        vendredi 18 octobre 2024 - 10h30
menu / actu

liste / rep

atlas / rech

repertoires: - (recherche dans les repertoires)

(diapo) (grd ecran)
   .. / sport
@

5eme SET, Quentin Reynaud 2021, Alex Lutz, Kristin Scott-Thomas, Ana Girardot (sport)@


Âgé de presque 38 ans, Thomas est un joueur de tennis qui n'a jamais connu de gloire. Pourtant, il était l'un des plus grands espoirs du tennis lorsqu'il avait 17 ans. À cause d'une défaite en demi-finale, il est traumatisé depuis et reste dans le bas du classement. Aujourd'hui, il se prépare pour ce qui devrait être son ultime tournoi et il refuse d'abdiquer. Soudainement pris d'un désir de sauver son honneur, il se lance dans une lutte improbable dont le résultat demeure incertain.

TELERAMA
Dans une partie de tennis, le cinquième set est celui de tous les dangers : « remontada » héroïque, écroulement pathétique, blessure… Dans une carrière de tennisman, c’est souvent le début de la fin. À 37 ans, Thomas ne peut se résoudre à raccrocher. Enlisé dans les profondeurs du classement depuis vingt ans, il n’est jamais parvenu à confirmer les espoirs placés en lui, quand il faisait, prodige de 17 ans, la couverture des magazines spécialisés. Plus personne ne croit en ses chances, à part lui-même.

Au cinéma, le tennis a déjà servi de toile de fond à des drames intimes ou de métaphore à des duels qui se jouaient hors du terrain. Ex-joueur semi professionnel, Quentin Reynaud s’est inspiré de son expérience pour filmer ce qui ne l’a ­jamais été : le corps qui lâche, la vie de famille sacrifiée, l’intendance obligée de suivre… Pour faire exister ce sportif qui vacille, il fallait, au contraire, un acteur bien solide. Scruté sous toutes les coutures par une caméra à l’épaule intrusive, Alex Lutz tient littéralement le film à bout de bras. Alors, hormis quelques défauts (dont le personnage de la mère et ex-entraîneuse du héros, jouée par Kristin Scott Thomas), le match tient en haleine et malmène, jusqu’au bout, les muscles des joueurs et les nerfs des spectateurs.
5eme SET, Quentin Reynaud 2021, Alex Lutz, Kristin Scott-Thomas, Ana Girardot (sport)@ (E)
Âgé de presque 38 ans, Thomas est un joueur de tennis qui n'a jamais connu de gloire. Pourtant, il était l'un des plus grands espoirs du tennis lorsqu'il avait ...

@

A LA DERIVE, Baltasar Kormákur 2018, Shailene Woodley, Sam Claflin (sport drame)@


Avec ce long métrage qui reconstitue un accident maritime survenu en 1983, Baltasar Kormákur (“Everest”) rate le mariage entre récit de survie et mélo pour jeunes adultes. La structure du film et le jeu des acteurs sont, parmi d’autres mauvaises idées, en cause.
On attendait mieux de Baltasar Kormákur, qui s’est récemment fait remarquer avec deux excellents récits de survie, l’un tourné dans son Islande natale (Survivre, 2012), l’autre à Hollywood (Everest, 2015). Il reconstitue ici l’accident d’un couple de navigateurs, surpris par un ouragan en plein océan Pacifique, en 1983. A la dérive démarre d’ailleurs sous de bons auspices, par un saisissant plan-séquence à l’intérieur d’un bateau de plaisance inondé, où décors et personnages semblent s’être liquéfiés.

Le film aurait pu être une version hollywoodienne de Survivre, également inspiré d’une histoire vraie – un marin-pêcheur ayant survécu dans l’eau glacée après un naufrage. Mais, sans doute pour satisfaire un public adolescent, Kormákur saborde son film en adoptant une structure en flashbacks : on assiste, en parallèle, à l’avant et à l’après tempête. D’abord, ces retours en arrière sont extrêmement mièvres : il faut entendre la conversation du premier rendez-vous amoureux, succession de clichés sur la navigation en solitaire. Ensuite, ils diluent l’efficacité des scènes spectaculaires, y compris celle de l’ouragan, censée constituer l’acmé du film.

Cette volonté de marier survival et mélo pour jeunes adultes se lit aussi dans le casting, qui réunit deux héros de dystopies adolescentes : Shailene Woodley de la saga Divergente et Sam Claflin de la franchise Hunger Games. La première a un jeu trop démonstratif, le second est transparent. Dommage… Avec une meilleure caractérisation des personnages, A la dérive aurait pu devenir la représentation, quasi littérale, des tempêtes traversées par un couple en crise.
A LA DERIVE, Baltasar Kormákur 2018, Shailene Woodley, Sam Claflin (sport drame)@ (E)
Avec ce long métrage qui reconstitue un accident maritime survenu en 1983, Baltasar Kormákur (“Everest”) rate le mariage entre récit de survie et m ...

@

BORG McENROE, Janus Metz Pedersen 2017, Shia LaBeouf, Sverrir Gudnason, Stellan Skarsgård (sport)@@


Un film sur une des plus grandes icônes du monde, Björn Borg, et son principal rival, le jeune et talentueux John McEnroe, ainsi que sur leur duel légendaire durant le tournoi de Wimbledon de 1980. C'est l'histoire de 2 hommes qui ont changé la face du tennis et sont entrés dans la légende, mais aussi du prix qu'ils ont eu à payer.

TELERAMA
Finale de Wimbledon en 1980. La mise en scène des matchs de tennis est, hélas, le point faible de ce biopic solidement interprété.
Par le niveau exceptionnel des échanges et, surtout, par son intensité dramatique, la finale de Wimbledon en 1980 entre Björn Borg et John McEnroe est considérée comme l’un des plus beaux matchs de l’histoire du tennis. La rencontre mythique, censée être l’apothéose de ce biopic, est malheureusement mise en scène comme un combat de boxe, avec des effets clippesques de très mauvais goût.

Le film convainc davantage quand il sort du court, et s’immisce dans la vie familiale tourmentée des deux ­légendes. On découvre que Borg (très bien interprété par l’Islandais Sverrir Gudnason, sosie troublant du champion suédois) cachait sous son apparence glaciale un tempérament volcanique. Et si Shia LaBeouf ne ressemble pas du tout à McEnroe, il restitue parfaitement le côté chien fou du génial gaucher, aussi énervant qu’attachant.
BORG McENROE, Janus Metz Pedersen 2017, Shia LaBeouf, Sverrir Gudnason, Stellan Skarsgård (sport)@@ (E)
Un film sur une des plus grandes icônes du monde, Björn Borg, et son principal rival, le jeune et talentueux John McEnroe, ainsi que sur leur duel légendaire dura ...

@

EVEREST, Baltasar Kormakur 2015 (drame sport)@


Inspiré d'une désastreuse tentative d'ascension de la plus haute montagne du monde, le film suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violentes tempêtes de neige que l'homme ait connues.

TELERAMA
Un film d’aventures qui n’évite pas le pathos vers la fin, mais qui allie plutôt bien réalisme de l’effort physique et suspense dramatique, en s’inspirant fidèlement d’une tragédie survenue en 1996.
Amis du piolet, friands de danger, voici un cadeau pour vous. Une aventure extrême entre pics et gouffres, inspirée de faits tragiques survenus en 1996, moment où commençaient à fleurir les agences organisant des expéditions vers le « toit du monde ». On suit l’une d’entre elles, pas à pas, ce qui garantit une galerie de portraits et une distribution copieuse. Il y a le chef (Jason Clarke), consciencieux et un brin paternaliste, qui s’allie à un autre guide, plus franc-tireur (Jake Gyllenhaal, parfait en tête brûlée cool). Parmi les « clients » : un facteur gentil mais fragile, une (fausse ?) caricature de Texan (Josh Brolin), un journaliste, une Japonaise… Chacun avec ses raisons d’aller tout là-haut, et sa déraison.
Sur les aspects lucratifs — la concurrence entre agences de voyages — et les effets pervers — embouteillages périlleux sur les sentiers — de cet alpinisme de plus en plus prisé, c’est parfois confus ou trop superficiel. Ce film de survie, réalisé en altitude par un cinéaste islandais plutôt doué (Jar City), décrit surtout comment l’expédition dégénère au retour de l’ascension, dans une météo soudain monstrueuse. L’éclatement du groupe, le manque progressif d’oxygène, le froid qui attaque, la lente avancée, où le moindre mètre demande un effort surhumain, tout cela est mis en scène de manière très physique, efficace, spectaculaire. Une alliance de réalisme et de suspense dont on sort plutôt conquis.
EVEREST, Baltasar Kormakur 2015 (drame sport)@ (E)
Inspiré d'une désastreuse tentative d'ascension de la plus haute montagne du monde, le film suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violen ...

@

L ASCENSION Ludovic Bernard 2017


Nadia met Samy, son petit ami, au défi de faire quelque chose d'extraordinaire pour elle. Le jeune homme lui promet de gravir l'Everest. Il regrette aussitôt sa suggestion, mais entend bien tenir parole. Il quitte alors ses amis, sa famille et sa cité de la Seine-Saint-Denis, direction l'Himalaya.
L ASCENSION, Ludovic Bernard 2017, Ahmed Sylla, Alice Belaidi (sport sentimental racisme)@@@ (E)
Nadia met Samy, son petit ami, au défi de faire quelque chose d'extraordinaire pour elle. Le jeune homme lui promet de gravir l'Everest. Il regrette aussitôt sa sugges ...

@

LE MANS 66, Matt Damon, Christian Bale@@


Dans les années 60, les constructeurs Ford et Ferrari se livraient une guerre sans merci. À cette époque, Henry Ford II reprenait l'entreprise familiale de son grand-père avec pour objectif d'imposer les voitures américaines sur le marché européen. Il a été assisté par Lee Iacocca. La rivalité entre les deux constructeurs connue sont apogée lors de la Course du Mans de 1966.
LE MANS 66, Matt Damon, Christian Bale (sport)@@ (E)
Dans les années 60, les constructeurs Ford et Ferrari se livraient une guerre sans merci. À cette époque, Henry Ford II reprenait l'entreprise familiale de son ...

@

MILLION DOLLAR BABY, Clint Eastwood 2004, Hilary Swank, Morgan Freeman (sport)@@


Frankie Dunn dirige un gymnase en décrépitude, secondée par son fidèle ami Eddie Dupris, un ancien boxeur depuis longtemps à la retraite. Malgré sa grande pauvreté, Maggie Fitzgerald, une pugiliste de 31 ans travaillant comme serveuse, tente de convaincre Frankie de devenir son entraîneur.

TELERAMA
Un coach philosophe, une boxeuse énergique. Sommet de classicisme, le film repousse les limites du mélo pour exalter les valeurs chères à Clint. Oscar de la meilleure actrice en 2005 pour la poignante Hilary Swank.
C'est l’histoire de Frankie, l’entraîneur de boxe, et de Maggie, la fille qui met les autres filles K.-O., mais c’est une tierce personne qui la raconte, Scrap, l’employé modèle qui surveille le ring et dort dans la salle de gym. Cette voix off installe d’emblée le vingt-sixième film de Clint Eastwood dans le plus séduisant des classicismes. Million Dollar Baby est bien l’héritier du « film de boxe », mais avec une différence de taille : le héros est une ­héroïne. Ce changement de sexe bouscule les relations entre des personnages archétypaux, insuffle de la vie dans une mécanique narrative hyper rodée.

Donc, Frankie — Clint lui-même — accepte de coacher Maggie, une jeune femme qui n’a que son punch pour atout. L’ascension de Maggie constitue le corps (à tous les sens du terme) du film, et il permet à Eastwood d’illustrer des thèmes chers à l’Amérique et à lui-même : le goût de l’épreuve, la valeur du travail individuel et le mérite qui l’accompagne, la transmission d’un savoir. Et puis cette croyance forte et simple que les êtres ont ­sinon un destin, du moins une voie qui exprimera au mieux leurs aptitudes.

La dernière demi-heure du film change la donne. À l’éloge des valeurs qui fondaient le film et le parcours de Maggie (ces valeurs fascinantes et ambiguës, l’individualisme en tête, qui sont celles d’Eastwood) se substitue un discours plutôt réactionnaire sur une société sans morale. On peut trouver cet épilogue plus faible.
MILLION DOLLAR BABY, Clint Eastwood 2004, Hilary Swank, Morgan Freeman (sport)@@ (E)
Frankie Dunn dirige un gymnase en décrépitude, secondée par son fidèle ami Eddie Dupris, un ancien boxeur depuis longtemps à la retraite. Malgr&e ...

@

MOI TONYA, Craig Gillespie 2017, Margot Robbie, Sebastien Stan, Allison Janney (sport societe)@@


Le parcours de la sportive controversée Tonya Harding, championne de patinage artistique dans les années 80 et 90, première femme à réussir un triple axel dans une compétition majeure, mais surtout connue aujourd'hui pour sa célèbre rivalité avec la patineuse Nancy Kerrigan aux JO de 1994 et sa tentative, avec l'aide de son mari, de nuire à sa rivale.

TELERAMA
Tiré d’un fait divers qui passionna le monde, le documentaire fictif, signé Craig Gillepsie, réhabilite Tonya Harding, championne de patinage artistique déchue.
Le 6 janvier 1994, la jeune patineuse artistique Nancy Kerrigan est attaquée à la ­matraque à l’issue de son entraînement. Très vite, les soupçons se portent sur l’autre star de l’équipe américaine, Tonya Harding, accusée d’avoir commandité l’agression pour empêcher sa rivale de participer aux jeux Olympiques.

L’Australien Craig Gillespie a reconstitué ce fait divers sous la forme d’un faux documentaire. Chacun des protagonistes donne sa version de l’histoire, cherchant à se donner le beau rôle — ou le moins mauvais possible. Ce parti pris narratif est une manière habile de rappeler l’ultra-médiatisation de l’affaire Harding, qui passionna le monde entier. Il se révèle aussi un puissant moteur d’humour noir, notamment quand le montage, un rien roublard mais efficace, vient pointer les contradictions des uns et des autres.

Dans ce réjouissant jeu de massacre, seules sont épargnées l’entraîneuse très patiente interprétée par Julianne Nicholson. Et surtout Tonya Harding elle-même. Sans être complètement innocentée, la championne déchue, un temps la femme la plus haïe d’Amérique, est réhabilitée par le réalisateur et sa tête d’affiche, Margot Robbie, aussi bluffante patins aux pieds que sensible dans son jeu. Grâce à elle, la comé­die féroce de Moi, Tonya se ­révèle, aussi, un émouvant portrait de femme.
MOI TONYA, Craig Gillespie 2017, Margot Robbie, Sebastien Stan, Allison Janney (sport societe)@@ (E)
Le parcours de la sportive controversée Tonya Harding, championne de patinage artistique dans les années 80 et 90, première femme à réussir un tr ...

@

RAOUL TABURIN a un secret, Pierre Godeau 2018, Edouard Baer, Benoit Poelvoorde (sport)@@


Raoul Taburin est un spécialiste en réparation de vélos et un véritable expert en la matière. Toutefois, il cache un secret qui le hante : malgré sa grande expertise en matière de mécanique de vélo, il ne sait pas en faire. Enfant, chaque essai de bicyclette se soldait par une chute immédiate. Quarante ans plus tard, il ressent encore cette incompétence comme une véritable malédiction. Un jour, un photographe spécialiste du portrait méticuleux vient s'installer au village.

TELERAMA
Raoul, génial réparateur de bicyclettes, a un secret : il ne sait pas faire du vélo. Une adaptation désuète et un peu lourde du livre de Sempé.
Difficile de transposer au cinéma l’univers graphique et narratif de Sempé, tout en délicatesse et en suggestion. Comme dans Raoul Taburin, récit dessiné de 1995, où un génial réparateur de bicyclettes cache à ses proches et à ses clients qu’il ne sait pas faire du vélo… Dans l’adaptation qu’en propose Pierre Godeau, l’utilisation d’une voix off explicative et l’abus de dialogues démonstratifs alourdissent cette fable délicieuse sur les apparences et la transmission. Le film, un peu désuet dans son esthétique de carte postale, convainc davantage quand il joue la carte du burlesque, grâce à de jolis effets sonores et au talent comique de Benoît Poelvoorde.
RAOUL TABURIN a un secret, Pierre Godeau 2018, Edouard Baer, Benoit Poelvoorde (sport)@@ (E)
Raoul Taburin est un spécialiste en réparation de vélos et un véritable expert en la matière. Toutefois, il cache un secret qui le hante : malgr& ...

@

RUSH, Ron Howard, Chris Hemsworth, Daniel Bruhl, Olivia Wilde, Alexandra Maria Lara (bio sport)@@


Au début des années 1970, sur les circuits de Formule 3, James Hunt pilote une Lotus nerveuse et vit comme si chaque jour était le dernier. Un jour, sur le circuit de Cristal Palace, il se frotte à l'Autrichien Niki Lauda. Hunt et Lauda dominent nettement leurs concurrents et les deux pilotes se lancent dans un âpre duel duquel James Hunt sort vainqueur. Bientôt, l'ambitieux Niki Lauda intègre une écurie de Formule 1.

TELERAMA
Rush est un biopic sportif avec toutes les conventions, voire tous les clichés du genre. Mais avec un sens du spectacle qui fait la différence. Montage syncopé, images des bolides au plus près des carrosseries, bande-son vrombissante… Ça dépote ! Le faiseur hollywoodien Ron Howard, plus inspiré que d’habitude, admire la volonté surhumaine de Lauda. Mais on ressent davantage encore sa fascination pour le fantasque Hunt. Le pilote au look de rock star est l’incarnation flamboyante des années 1970, dont l’énergie et la démesure sont ressuscitées avec un luxe de détails impressionnant.
RUSH, Ron Howard, Chris Hemsworth, Daniel Bruhl, Olivia Wilde, Alexandra Maria Lara (bio sport)@@ (E)
Au début des années 1970, sur les circuits de Formule 3, James Hunt pilote une Lotus nerveuse et vit comme si chaque jour était le dernier. Un jour, sur le cir ...

@

TRAPEZE, Carol Reed 1956, Burt Lancaster, Gina Lolobridgida, Tony Curtis (sport)@


L'ancienne vedette du trapèze, Mike Ribble, handicapé à la suite d'un accident, prend sous son aile le jeune Tino Orsini, la star montante qui pourrait battre son record de saut. Orsini tombe entre les griffes de Lola la séductrice, troisième membre de l'équipe de voltigeurs dont les deux hommes tombent amoureux.

TELERAMA
Mike Ribble, l'unique spécialiste du triple saut périlleux au trapèze, a été contraint, après un accident, d'interrompre sa brillante carrière. Devenu simple accessoiriste, il rencontre Tino Orsini, dont le père a autrefois été son porteur. Ce fougueux jeune homme attend de Mike qu'il lui dévoile les secrets du triple saut. Celui-ci refuse, mais Tino fait montre de telles qualités qu'il parvient finalement à convaincre son idole. Mike se remet donc à l'entraînement pour faire de Tino un trapéziste prestigieux. Alors que leur numéro prend forme, apparaît la jeune Lola, une artiste ambitieuse qui souhaite collaborer avec eux. Mike résiste...
TRAPEZE, Carol Reed 1956, Burt Lancaster, Gina Lolobridgida, Tony Curtis (sport)@ (E)
L'ancienne vedette du trapèze, Mike Ribble, handicapé à la suite d'un accident, prend sous son aile le jeune Tino Orsini, la star montante qui pourrait battre ...