ANTOLINEZ, le marchant ambulant 1670 SIMON (Paul), the boxer
date de publication: lundi 05 septembre 2022
Quand j'ai quitté ma maison et ma famille
Je n'étais rien de plus qu'un garçon apeuré
cherchant les quartiers les plus pauvres
Où vont les gens en haillons
Paul SIMON - the boxer
Jose Claudio ANTOLINEZ - le marchant de peinture 1670
Dans ce tableau, Antolinez semble s'être inspiré de Velázquez. Sa technique habile et délicate, avec des emprunts à Rubens et aux Vénitiens, demeure très originale pour suggérer la vibration de l'atmosphère et la légèreté des tissus. Il est un excellent portraitiste.
Illustr musicale: Paul SIMON et Joan BAEZ - the boxer
Les paroles prennent la forme d'une lamentation à la première personne où un jeune homme arrive à New York et n'arrive à trouver ni travail, ni amour, ne trouvant du réconfort qu'avec les prostituées de la Septième Avenue. Il décrit son combat pour surmonter la solitude et la pauvreté. Lors du couplet final, la chanson passe à la troisième personne et décrit un boxeur qui continue le combat malgré tous les coups qu'il reçoit, affirmant qu'il va abandonner mais se refusant à le faire.
I am just a poor boy
Though my story's seldom told
I have squandered my resistance
For a pocket full of mumbles
Such are promises
All lies and jests
Still a man hears what he wants to hear
And disregards the rest
When I left my home and my family
I was no more than a boy
In the company of strangers
In the quiet of the railway station
Running scared
Laying low, seeking out the poorer quarters
Where the ragged people go
Looking for the places
Only they would know