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VINCI (leonard de), la cene - BACH, cantate bwv 78 Jesu der du meine Seele



VINCI (leonard de), la cene - BACH, cantate bwv 78 Jesu der du meine Seele
(taille reelle)
Leonard de VINCI - la cene ()

Leonard de VINCI - la cene
"il vous montrera une grande chambre à l'étage, "aménagée et toute prête, c'est là que vous nous préparerez la Pâque " (Marc 14.12-31)
Le peintre cherche à representer les participants à la dernier cène du Christ de telle maniere que le spectateur puisse lire facilement leurs pensées au travers de leurs mouvements: saint Thomas sceptique tendant l’index, saint Philippe, se levant pour protester de son innocence, saint Barthélemy, indigné, appuyant les mains sur la table. Contrairement à la tradition, Judas n’est pas mis à l’écart ni représenté de dos. Il est assis de profil, un peu en recul, touchant la bourse contenant l’argent de sa trahison.
En 1796, l’armée française occupe la Lombardie, on loge un temps les troupes françaises à l’intérieur de Santa Maria delle Grazie (le réfectoire sert même d’écurie, puis de grenier à foin), ce qui cause encore plus de dommages à l’œuvre de Léonard dejà degradée par l'humidité et les abandons successifs.

Illustr musicale: J.S. BACH - cantate bwv 78 Jesu der du meine Seele -choeur d'entrée
Le chœur d'ouverture est une fantaisie chorale sous forme de passacaille. Le thème est donné 27 fois, parfois inversé, parfois en une tonalité différente.
Jesu, der du meine Seele (Jésus, toi qui as par ton martyre), (BWV 78), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach| composée à Leipzig en 1724. pour le quatorzième dimanche. et fait intervenir le choral au début et à la fin. Le texte est une méditation sur la douleur du pécheur et son espoir de salut dans la foi.
Cette cantate, rendue célèbre notamment par les nombreuses interprétations du mouvement n°2 (duo S-A), est remarquable pour les changements d'atmosphère.

Jesu, der du meine Seele
Hast durch deinen bittern Tod
Aus des Teufels finstern Höhle
Und der schweren Seelennot
Kräftiglich herausgerissen
Und mich solches lassen wissen
Sei doch itzt, o Gott, mein Hort!