Celui à qui la souffrance est épargnée
doit se sentir appelé
à soulager celle des autres
Albert Schweitzer (Kaysersberg, 14 janvier 1875 - Lambaréné, 4 septembre 1965), était un théologien protestant, musicien organiste, philosophe et médecin alsacien, né citoyen d’Alsace-Lorraine (ressortissant allemand).
Connu pour son éthique du « respect de la vie », inspiré (comme il en témoigne1) des religions de l'Inde, dont notamment le principe d’ahimsâ (« non-violence ») issu du jaïnisme, de l’hindouisme et du bouddhisme, mais aussi célèbre pour la fondation en 1913 de son hôpital de Lambaréné, au Gabon, ainsi que pour ses travaux sur Bach et ses interprétations à l’orgue, caractéristiques du mouvement de la réforme alsacienne, Albert Schweitzer fut lauréat du prix Goethe en 1928 et du prix Nobel de la paix en 1952.
Que chacun s'efforce dans le milieu où il se trouve de témoigner à d'autres une véritable humanité. C'est de cela que dépend l'avenir du monde.
N'aies pas peur de regarder l'autre dans les yeux, tu finiras par t'y voir toi-meme
(proverbe Fang)
Celui à qui la souffrance est épargnée doit se sentir appelé à soulager celle des autres.
Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage.
L'idéal est pour nous ce qu'est une étoile pour le marin. Il ne peut être atteint mais il demeure un guide.
La seule possibilité de donner un sens à son existence, c'est d'élever sa relation naturelle avec le monde à la hauteur d'une relation spirituelle.
La force qui ne connaît que la révolte s'y use
Le nationalisme, c'est un patriotisme qui a perdu sa noblesse
Les gouvernements s'entendent lorsque les peuples les obligent à s'entendre