arpoma l'art par la musique
        lundi 25 novembre 2024 - 01h37
menu / actu

liste / rep

atlas / rech
(9 sur 1467)   (liste)
◀◀         (9 sur 1467)         ►►


























(grand format)   (taille reelle) (loupe: alt+cmd+8)
47 METERS DOWN, Johannes Roberts 2017 (drame mer)@

Après la rupture de Lisa, sa soeur Kate l'embarque en vacances au Mexique pour lui changer les idées. Avides d'aventures, elles se mettent au défi de plonger parmi les requins blancs, protégées par une cage. Une fois dans l'eau, le spectacle est incroyable, mais subitement, le câble qui retient la cage au bateau cède, et les deux soeurs se retrouvent plongées au fond de l'océan, à 47 mètres de profondeur. Il ne reste qu'une heure d'oxygène et les grands blancs rôdent.

TELERAMA
Une fois qu’on plonge dans les profondeurs avec ses héroïnes, le film remplit son contrat : faire peur. Dans les abysses, personne ne vous entend crier…

Les requins sont une espèce menacée dans tous les océans du globe. Mais ce n’est pas ce survival en milieu sous-marin qui va donner envie de les sauver… Une jolie Américaine délurée a emmené sa sœur plus introvertie se changer les idées sur une plage du Mexique. Après quelques verres de téquila, elles se laissent convaincre par deux beaux gosses locaux de s’immerger dans une cage pour aller contempler les squales de près.

Évidemment, dès qu’elles mettent le pied sur le bateau qui doit les conduire au large, on se doute que la croisière ne va pas s’amuser longtemps : la cage est rouillée, les filins hors d’âge et le « captain » (le revenant Matthew Modine) ressemble à un guerrier apache qui aurait forcé sur les champignons hallucinogènes. De fait, après quelques instants sous l’eau, le câble principal casse, et les deux frangines se retrouvent coincées à 47 mètres de profondeur, avec une durée d’oxygène limitée et de grosses bébêtes affamées qui leur tournent autour…

Ne pas se laisser décourager par les vingt premières minutes, épouvantablement mal écrites et mal jouées. Une fois que la caméra de Johannes Roberts plonge dans les profondeurs avec ses héroïnes, le film remplit son contrat : faire peur, en jouant à la fois sur le sentiment de solitude, la claustrophobie, l’angoisse liée à la présence invisible des prédateurs, le suspense et les effets de surprise — souvent gore, la surprise…