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CONSTABLE, Wivenhoe Park, Essex - PACHELBEL, canon
John CONSTABLE - Wivenhoe park, essex
Les ciels de Constable sont particulièrement vibrants et en font un précurseur de l'impressionnisme. Il les étudie comme « le plus insaisissable des phénomènes du monde ». Sa méthode est simple : il part en balade pour peindre la nature elle-même « Chaque fois que je me prépare à faire une esquisse d'après nature, je m'efforce d'oublier que j'aie jamais pu voir un tableau ».
Il prétend ainsi faire des découvertes techniques par l'observation et l'expérimentation continuelle. Selon lui, peindre est une transposition, pas une copie, et doit préserver les rapports d'ensembles. Ainsi Constable s'est détaché des sujets classiques en allant peindre la nature elle-même dans son souci expérimental : La région de Dedham Vale dans le Suffolk est encore connue comme le « Pays de Constable ».

Illustr musicale: Johann PACHELBEL - canon
Le Canon de Pachelbel ou Canon en ré ou Canon per tre Violini e Basso (titre original) ou Canon et Gigue en ré majeur pour trois violons, avec basse continue [en forme de basse obstinée], de Johann Pachelbel fait partie d'une pièce de musique de chambre baroque, composée vers 1680 en deux mouvements : un canon et une gigue, pour trois violons et basse continue, par le compositeur allemand Johann Pachelbel (1653-1706). Il est une de ses compositions les plus célèbres, d'origine inconnue, traditionnellement jouée pour l'accompagnement de marche nuptiale de mariage (peut-être jouée pour le mariage du 23 octobre 1694, de son élève Johann Christoph Bach III, frère aîné de Jean-Sébastien Bach, avec Johanna vom Hofe).