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MADAME SOURDIS, Caroline Huppert 1979, Pierre Clementi, Nathalie Baye (societe)@

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Adèle vit dans l'ombre de son mari, Ferdinand, artiste-peintre. Après le décès du père, ils quittent la province pour Paris. Elle peaufine ses toiles et le console. Grâce à son coup de pinceau, Ferdinand découvre la gloire et le succès. Et l'amour dans tout ça ? Sacrifié sur l'autel de la création...

on peut comprendre qu’il soit trop académique, appliqué et ainsi manque un peu de vie. Par contre on retrouve bien les atmosphères et leitmotivs de Zola et l’histoire est intéressante. Le naturalisme de l’auteur est très respecté.

Pour la petite anecdote, Zola a attendu, par respect pour lui, la mort de Daudet son ami, soit environ 20 ans pour publier cette nouvelle. Les frères Goncourt, pas forcément des adeptes d’une honnêteté absolue, détestaient Daudet (qui avait sa part d’ombre) et avaient fait courir la rumeur à propos d’un rôle de sa femme dans son œuvre. Le sujet divise peut-être encore quelques «experts» mais à priori le mystère reste entier…