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LA FIEVRE DU SAMEDI SOIR, John Badham 1977, John Travolta (danse)@@

A 19 ans, le jeune Tony Manero est le roi du weekend, la star des dance-floors de son quartier de Brooklyn. Mais la semaine, le retour à la vraie vie est difficile. Jusqu'au jour où Tony rencontre la belle Stephanie qui lui fait prendre conscience qu'il existe peut-être un autre monde à découvrir au delà des murs de brique des bas-quartiers de New York.

TELERAMA
Tony Manero vit dans Little Italy, à New York. Seule échappatoire à une vie réglée entre copains, famille, cuites et bagarres, le night-club, où, sur des musiques disco, Tony devient un as du ­déhanchement sensuel. Il rencontre Stephanie, une jeune danseuse. Formeront-ils un couple pour le concours de danse ?

Les années 1980, jugées grises et inhumaines, nous avaient au moins débarrassés de l’icône Travolta, costume blanc et doigt en l’air, imagerie kitsch d’une « fureur de vivre » de centre commercial. Mais revoir avec du recul cette Fièvre du samedi soir, pompe à dollars originelle, n’est pas inintéressant. Outre la fébrile musique des Bee Gees, on découvrira qu’il s’agit d’un film astucieux sur nos erreurs de jeunesse (l’équivalent américain de J’ai raté Télé-foot, de Renaud), sur une mode vestimentaire et musicale. La Fièvre du samedi soir peut ­encore en faire soupirer d’aise certains.

Un garçon de courses s’éclate en participant à des concours de danse disco. Du temps où seul le menton de John Travolta était grassouillet, il nous reste cette “Fièvre du samedi soir”, qui a gardé un excellent rapport qualité-paillettes.