boubat ()
boubat (1948)
Si tu ramasses un coquillage
et que tu le portes à ton oreille,
tu entendras la mer.
Si tu le portes à ta poitrine,
il entendra ton coeur
Philippe Geluck
Cet enfant montre une sérénité douce en collant son oreille au coquilage. En fermant les yeux,comme lui on peut s'imaginer au bord d'une plage, les pieds dans le sable, ecoutant le cri des mouettes, le souffle du vent et l'odeur de la mer
Boubat s’intéresse particulièrement à montrer les moments vides de la vie et en exalter tout le bonheur. Il présente « un quotidien dépouillé mais plein de grâce, de poésie et d'une plénitude intemporelle.