Cette guerre a constitué le premier conflit mécanisé de haute intensité depuis la fin de la Seconde guerre Mondiale. Elle a démontré l'importance du renseignement pour contrer l'effet de surprise. Elle a permis de valider, de nuancer ou de rejeter certains concepts opérationnels. Elle a servi de banc d'essai à de nombreuses armes récentes qui n'avaient pas eu l'occasion de subir l'épreuve réelle du feu. Elle a démontré une nouvelle fois que le facteur humain jouait toujours un rôle essentiel dans la conduite de la bataille.