T’abreuvant à mes lèvres calice argenté
désir tu emprisonnes le fruit mûr de ma tendresse
Derrière la lanterne
tes yeux seuls regardent ma fleur solitaire
éclore Derrière les barreaux de la passion
ton regard d’opale frémit
Tu as compris
c’est notre dernière cène
Me transformant en Physalis
écrin de volupté
j’étoufferai
apaisée