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J'etais allongé sur la civiere posée sur le sol, à demi inconscient
l'infirmière qui apparut au dessus de moi me fit l'effet d'un ange, descendu du ciel.
elle était élancée et avait la peau blanche, des cheveux roux comme le feu.
Ses yeux me regardèrent avec un petit air mutin et elle lança à sa collegue: :
- nous allons le transporter dans sa chambre
Elle se positionna au dessus de ma tete,, sa collegue de l'autre coté
Ma belle rousse avait un pied de chaque côté de mon visage.
j'étais sous un chapiteau blanc. Les deux jambes montaient haut, au-delà du genou.
Je du me contrôler pour ne pas glisser mes mains le long de cette peau que l'on devinait douce et soyeuse,
seul un petit carré de dentelle protégeait son intimité.
elle fléchit les genoux et me saisit sous les épaules.
mon visage n'était plus qu'à quelques 20 ou 30 centimètres de sa culotte !
Ce spectacle magnifique s'accompagnait du parfum musqué qui s'exhalait de ce lieux de delices.
Je profitais de cet instant magique, je humais une dernière fois à pleins poumons ce délicieux parfum.
et ... j'expirais sans contrôle une bouffée d'air chaud … directement entre les cuisses de la belle.
Elle resta figée quelques secondes ... puis me souleva, mais son attitude avait changé.
Elles finirent par me porter jusqu'à mon lit, où elles me déposèrent en douceur.

Je fis mine alors de reprendre mes esprits et ouvris mes yeux.
La belle rousse s'adressa à moi avec un petit sourire et un regard étrange :
- vous semblez avoir retrouvé votre vigueur, va falloir que je vous fasse une pique. respirez bien profondément. Je sais que vous savez faire …
Cette dernière phrase me fit fremir. Je me suis mis à bander comme un taureau. Le drap ne dissimulait plus mon érection.
Son regard se posa sur le lit et elle resta interdite pendant un court laps de temps. Puis elle réagit :
- Je vois que la perfusion vous fait déjà de l'effet…
Son regard s'était fait plus profond, son sourire plus complice.
- Laissez-moi voir ce qu'on peut faire pour vous !!
Elle souleva doucement la couverture puis le drap et je sentais que mon slip, sous la pression, se décollait de mon bas-ventre.
Elle découvrit mon slip tendu par le désir. Avec un sourire coquin, elle me chuchota :
- Si vous le permettez, … je vais vous calmer
La situation devenait de plus en plus torride.
Elle passa ses deux mains sous le tissu et fit descendre doucement mon slip jusqu'à mes genoux puis m'en débarrassa totalement.
Mon sexe était gonflé comme jamais. Elle admira, prit le prépuce entre ses doigts et commença à le masser légèrement,
Ce contact déclencha en moi un nouvel afflux de sang,
Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre.
Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante.
Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal,
Elle continua son massage pendant quelques minutes qui me parurent une éternité…
Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais.
J'avançais ma main sous sa blouse, et la remontais vers la base de ses fesses.
Penchée vers mon sexe qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait.
Elle sembla hésiter un instant puis approcha encore un peu plus son visage.
Elle posa ses lèvres sur mon gland pour esquisser un baiser.
Elle refit le même geste en descendant jusqu'à la base, puis en remontant.
Elle releva alors la tête et me regarda profondément.
Je la fixais intensément alors que je voyais sa bouche s'ouvrir, et engloutir mon sexe.
Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide,
Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland.
Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir.
Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir.
Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais.
Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi.
Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les couilles.
De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement.
Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait.
La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts.
Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle.
Je sentis ses globes fessiers se contracter.
Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer,
Je sentais ma sève monter progressivement.
Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme.
Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper.
Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent.
La belle rousse finit par quitter mon entrejambe. Elle rabaissa ma blouse et remonta le drap et la couverture.
- nous sommes quitte !
Elle me quitta sur ces mots.