arpoma.com - Rep. / Data
(6 sur 31)   (liste)
◀◀         (6 sur 31)         ►►


























(grand format)   (taille reelle) (loupe: alt+cmd+8)
--adct-12-0barbara
J’adore le corps de Barbara. Barbara est fine, Ses seins, son dos sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser. Barbara a un beau corps à la peau diaphane enveloppé dans une élégante robe de nuit de soie blanche.
- Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire.
- Viens, mon amour, viens. Tu m’aimes, je t’aime. Et nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête ! Ce soir, c’est notre soir.
- Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger.
- Ce soir je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules, que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu me ramones, que tu me chéries, que tu me câline !
- En somme, tu voudrais que je te baise ?
- Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin.
Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Elle s'ouvre à moi. Elle gémit, elle m'accueille, son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Barbara, ma douce !
- Nicolas, mon amour !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes mouvements. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus, elle se redresse, se met à jouir. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un plein récital. Fin du concert.
Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos substances. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.