Sa poitrine imposante arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, elle poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire. Elle était magnifique. Elle réajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit contre moi, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil. Plantée à côté de moi, un sourire carnassier sur les lèvres, elle s'installa à califourchon sur moi, prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Le doux clapotis allié à la vision de ses seins ballotant contre ma poitrine et à la sensation de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation. Elle eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins.
Elle défit son chignon et laissa ses cheveux descendre en cascade sur ses reins, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.