Il dessine et peint à l'aquarelle la vie du Caire et de ses habitants avec le plus d'authenticité possible ainsi que les paysages d'Égypte et du Sinaï.
Renouant avec la technique de la peinture à l'huile, il expose très régulièrement à la Royal Academy et la présentation de plusieurs de ses œuvres à l'Exposition universelle de Paris de 1855, lui vaut une analyse flatteuse de la part de Théophile Gautier.