Angela est désormais sous mon emprise. Allongée sous mon corps, je la regarde fixement, elle esquisse une légère grimace. Puis je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement.
Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir. Je me bloque alors au fond de son ventre Je pousse un cri rauque. Et mon premier jet vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants. Elle pousse son bassin contre moi aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs ce qui déclenche de nouveau chez elle l'orgasme. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un nouveau chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes
Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle,
liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là