Etendues et actives sur le tapis royal,
nues et chaudes, entremêlées, mélangées,
quelques unes des perles du royaume,
la lumière des candélabres caressent les chairs
qui glissent entre elles.
Mon glaive de chair bien affûté glisse
dans le fourreau d'une femme yemenite
à la longue chevelure noire ondulante
elle pousse des râles, des cris perçants,
le visage rougi d'excitation.
Les chairs roses subissent le frottement intense
de ma grande lame de chair, de sang et de semence.
Semence royale qui féconde
et qui grouille dans son ventre,
ventre gonflé, seins tendus en formes d'ogives,
les grands bouts noirs hérissés,
gonflés par l'excitation des corps.
Dans une dernière charge,
j'enfonçe mon organe qui bouillonne,
Je leve la tête et expire un cri libérateur.
Pendant ce temps, un couple se livre aux passions charnelles
Lui, à cheval sur la croupe de sa compagne,
Les lèvres du portail rose feminin
n'offrent que peu de résistances à l'assaut brusque du bélier,
l'organe male se fraye un chemin
dans toutes les antres où il peut entrer.
On sent l'organe palpiter, bouillonner,
par la seule friction dans le passage étroit qui se referme,
Plus il y met de vigueur, plus la friction le rend fou de désir
et plus le plaisir devient démentiel,
les yeux fermés, cramponné,
il pousse des gémissements exprimant son plaisir.
Il vient fébrile, haletant, soufflant en alternance,
les yeux exorbités au moment de l'orgasme.
Il hurle, gesticule, s'accrochant à sa partenaire.
Celle-ci voit sa tête basculer de tout bords,
dans un mouvement, incontrôlable.
l'amante, s'offre, avide des plaisirs
procurés par la verge de son compagnon,
verge qu'elle enduit d'une huile orientale
qui la fait gonfler, prolongeant l'érection,
augmentant la sensibilité et facilitant le glissement.
je suis toujours assis sur le fond du bain,
avec cetete fois ci une polynesienne
qui s'empale sur moi, à son rythme,
tantôt lent et grisant, tantôt rapide et lancinant
glissant sur mon sceptre, gonflé dur en elle,
et chargée de la semence royale
dont je m'efforçe de contenir l'envie de jaillir en coups de canon.
Son dos ambré mouillé, ses cheveux noirs
collés à sa peau frottant sur mon torse,
mes mains baladeuses se font aventurières,
alors que la féline se fait impétueuse, exhalant des râles sonores
dont le souffle chaud se fait sentir sur ma joue.
Un homme, un peu plus loin, le membre palpitant,
s'est engouffré au fin fond de l'antre de la chinoise,
ses bourses cognant au même rythme
que les soupirs de contentements
qui fusent de sa bouche et me font tressaillir.
Les yeux fermés, perdu en elle dans des délices charnels,
il veut que son plaisir fut éternel.
Mais toutes bonnes choses ayant une fin,
il explose sa semence en elle,
arrachant un grand râle puis une exclamation de frustration.
Serrant les dents, agrippant sa partenaire,
il persiste jusqu'à l'épuisement, glissant vivement dans l'antre.
L'antre de la polynésienne est maintenant rempli de mon nectar,
je place le corps frémissant de plaisirs
sur les dalles autour du bain, sur le dos,
remontant les cuisses sur son ventre.
La vahiné se glisse dans le bain
et sa bouche vient se plaquer sur la mienne.
Sans voir l'homme qui la prend par l'arriere
Sans avertir, l'homme derriere elle
entre son mat dans le fourreau de ma polynésienne
et les râles de ma vahiné, se perdent dans ma bouche...
le harem a vu naître 200 enfants, issus de 91 femmes,
celles mariées parmi les 135 du harem,
la 135em étant celle qui semblait se régaler
avec un quelque chose de ma personne
dans le fond de sa bouche, blottie sous mon bureau.
L'heure approchait pour le repas du soir,
qui, comme à l'habitude, promettait d'être animé,
avec les musiciens, les danseuses du ventre
et un repas digne de l'Olympe,
que je partagerai ce soir avec l'émir du Qatar.
Sous la table, ma belle promise avale des jets de semence,
qui pulsent sur sa langue humide.
Elle me regarde de ses yeux de féline avide.
Ses cuisses se sont refermées sur mon pied qui l'effleure.
Un plaisir qui s'est fait attendre et qui n'est que meilleur.