Yann ARTHUS- BERTRAND - troupeau d'elephants... |
Nick UT WY - napalm girlNé le 29 mars 1951 à Long An au Vietnam, Nick Ut est connu pour sa photo emblématique "Napalm Girl" ("La petite fille brûlée au napalm" en français), prise lors de la guerre du Vietnam (qui a duré de 1955 à 1975), sa carrière ne se résume pas pour autant à cette image. Une des premières photos virales du monde À 19 ans, le 8 juin 1972, il prend la photographie qui va changer sa vie. D'une part parce qu'elle lui fait remporter de nombreux prix et le fait accéder à la postérité, mais aussi parce qu'il a pu sauver la petite fille présente sur la photo. Ce 8 juin, Nick Ut se trouve aux alentours de Trang Bang, un village à environ 40 kilomètres au nord de Saigon. Le village est assiégé par les Sud-Vietnamiens, et alors que la plupart des habitants ont déjà fui les lieux, l'armée bombarde les lieux avec du napalm. Le photographe voit les habitants courir sur les routes, fuyant leur village. Une petite fille nue court en pleurant. Il met du temps à réaliser que si l'enfant est nue, c'est parce qu'elle a dû retirer ses habits enflammés. Son bras est couvert de napalm et Ut l'entend crier : "C'est trop chaud, je crois que je suis en train de mourir." Le photojournaliste a raconté, des années après, lui avoir donné de l'eau et être resté auprès d'elle afin de la calmer et de l'emmener à l'hôpital. C'est grâce à la carte de presse d'Ut que la petite a pu être admise aux urgences. Aujourd'hui, Kim Phuc est adulte et vit au Canada. Elle et son "sauveur" sont toujours en contact : Né le 29 mars 1951 à Long An au Vietnam, Nick Ut est connu pour sa photo emblématique "Napalm Girl" ("La petite fille brûlée au napalm" en français), prise lors de la guerre du Vi ... |
Adriane OHANESIAN - Soudan, la guerre oubliéeAdriane Ohanesian est une photojournaliste indépendante native de New York et basée à Nairobi, au Kenya. Elle fait des reportages principalement en Afrique depuis 2010, couvrant notamment la guerre au Soudan du Sud, et le conflit au Darfour. Ses photographies ont été publiées par Al Jazeera, «The Wall Street Journal», «National Geographic», ou encore «Time». «A la fin de la journée, il n’est pas question de moi; il est question de la vie des gens que j’ai pris en photo», explique la journaliste. «Mes photographies montrent ce que j’ai vu dans des régions isolées du monde. J'espère que les gens que je photographie ont le sentiment que ces photos font part de leur situation au monde extérieur», ajoute-t-elle, soulignant le fait que cela inclut une «immense confiance de la part de (ses) sujets». Cela donne des photos intimes, illustrant un quotidien souvent difficile. Illustration en images. Adriane Ohanesian est une photojournaliste indépendante native de New York et basée à Nairobi, au Kenya. Elle fait des reportages principalement en Afrique depuis 2010, couvrant notamment la guerre au Soudan du Sud, et ... |
Jean GUICHARD - phare de la Jument dans la tempêteJean Guichard ne à Paris le 28 avril 1952, est un photographe français. Il est particulièrement connu pour ses photos de phares, notamment pour une série de 7 photos intitulées « La Jument » et représentant le phare de la Jument dans la tempête. Jean Guichard ne à Paris le 28 avril 1952, est un photographe français. Il est particulièrement connu pour ses photos de phares, notamment pour une série de 7 photos intitulées « La Jument » et ... |
Henri CARTIER-BRESSON - Bruxelles 1932 (Magnum)Il est possible de créer une intrigue dans une photographie en faisant allusion à un espace ou à un objet caché à la visionneuse. Dans Bruxelles de Henri Cartier-Bresson, 1932, un tissu grossier bloque la vue d'un spectacle inconnu. Un homme a trouvé un trou pour voir, mais l'autre regarde furtivement d'un côté, comme s'il était pris en flagrant délit. Quelle scène a provoqué un tel sentiment de culpabilité ? Le photographe et le spectateur peuvent sympathiser avec cette curiosité clandestine. Cette image fut l'une des premières que Cartier-Bresson prit avec un appareil photo Leica de petit format, ce qui lui permit d'opérer sans être détecté par ses sujets. Henri Cartier-Bresson (français, 1908-2004) Bruxelles, 1932 impression d'argent Centre international de la photographie, Don d'Henri Cartier-Bresson, à la mémoire de Robert Capa et David Seymour © Henri Cartier-Bresson / Photos Magnum Il est possible de créer une intrigue dans une photographie en faisant allusion à un espace ou à un objet caché à la visionneuse. Dans Bruxelles de Henri Cartier-Bresson, 1932, un tissu grossier bloque la ... |
Corentin FOHLEN - 13 janvier 2013 place de la républiqueSpot News, 2nd prize singles Corentin Fohlen, France, 2015, March Against Terrorism in Paris Demonstration against terrorism in Paris, after a series Spot News, 2nd prize singles Corentin Fohlen, France, 2015, March Against Terrorism in Paris Demonstration against terrorism in Paris, after a series ... |
Henri CARTIER-BRESSON - jeux dans un camp de réfugiés au Penjab"contre l'oisiveté et le désespoir au camp de réfugiés de Kurukshetra, on institue la gymnastique pour les distraire et leur donner de l'énergie. » Henri Cartier-Bresson a voyagé pour la première fois en Inde en décembre 1947, parcourant 6 888 milles marins par voie maritime depuis l'Angleterre. En arrivant, il rencontra une nation nouvellement indépendante dont les gens éprouvaient des tensions croissantes dues à la partition religieuse de l'Inde et du Pakistan. Au milieu de ce conflit, Cartier Bresson a capturé l'un de ses meilleures images connues, Srinagar, Cachemire, 1948 (lot 73), qui représente les femmes musulmanes est Hari priaient Perbal Hill, avec le soleil levant illuminer l'Himalaya. "contre l'oisiveté et le désespoir au camp de réfugiés de Kurukshetra, on institue la gymnastique pour les distraire et leur donner de l'énergie. » Henri Cartier-Bresson a voyagé ... |
Henri CARTIER-BRESSON - Jean-Paul Sartre sur le pont des artsLes portraits d'Henri Cartier-Bresson sont célèbres. Si célèbres, même, que Jean-Paul Sartre garde à jamais le visage que "HCB" lui a donné en 1946 : la pipe à la bouche, l'oeil de travers et le sourcil froncé, sur un pont des Arts qui s'enfuit dans la brume. Cartier-Bresson disait chercher dans ses portraits à "saisir le silence intérieur d'une victime consentante". Cartier-Bresson a évacué la parole et le rire, l'anecdote et l'artifice, pour se concentrer sur quelque chose de plus intime et profond. Les images sont impeccablement construites, avec des lignes de fuite qui accompagnent souvent les regards au loin. Alors que le portrait prétend souvent dévoiler une part de l'être, HCB cultive plutôt le mystère et l'absence. Le regard est rarement frontal, le sujet dérobe ses yeux au photographe aussi bien qu'au spectateur. HCB lui-même cherche à faire oublier sa présence, comme il l'expliquait au Monde en 1983 : "Il ne faut pas qu'on se dise : "Monsieur le photographe était là." Il faut prendre le type quand il est à l'intérieur de lui-même. Le portrait, c'est passer l'appareil entre la chemise et la peau, sans faire de mal." A la pose, HCB préfère les gestes en demi-teinte ou les instants volés. Comme avec Irène et Frédéric Joliot-Curie, qu'il a pris en photo en 1944 de façon bien cavalière : "Je suis entré. Avant de les saluer, j'ai tiré. Ce n'était pas très poli." HCB aimait cet exercice délicat, ce duel entre deux volontés, qu'il a poursuivi longtemps après avoir renoncé à la photographie pour le dessin, à la fin des années 1960. Sa célébrité l'autorisant à choisir ses modèles, il n'a photographié que ceux qu'il admirait. La sélection montre ses affinités : peu d'acteurs, sauf Isabelle Huppert ou Marilyn Monroe ; quelques hommes politiques ou scientifiques ; mais, surtout, des peintres, écrivains, cinéastes, sculpteurs... La gravité de ces figures reflète sans doute la révérence d'Henri Cartier-Bresson envers le processus de création. L'écrivain Truman Capote en est un bel exemple : à l'époque, le jeune homme était connu comme un lutin agité, à la toute petite taille et à la voix haut perchée. HCB en fait, lui, un être grave et tendu, la main plongée dans l'ombre, entouré d'une végétation inquiétante. Ce n'est pas le personnage haut en couleur qui intéresse le photographe, mais la force de son esprit. Pour autant, Cartier-Bresson imaginait bien que l'image fixe ne peut totalement dévoiler une âme. Il l'écrit dans Images à la sauvette : "A l'artifice de certains portraits, je préfère de beaucoup ces petites photos d'identité serrées les unes contre les autres aux vitrines des photographes de passeport. A ces visages-là on peut toujours poser une question, et l'on y découvre une identité documentaire à défaut de l'identification poétique que l'on espère obtenir." Les portraits d'Henri Cartier-Bresson sont célèbres. Si célèbres, même, que Jean-Paul Sartre garde à jamais le visage que "HCB" lui a donné en 1946 : la pipe à la bouche, l'oe ... |
Henri CARTIER-BRESSON - Jerusalem 1977... |
Henri CARTIER-BRESSON - femmes musulmanes en prière, Srinagar, CachemireHenri Cartier-Bresson a longtemps séjourné en Inde. Lors de son premier voyage en 1948, Il a su traduire une atmosphère, une pensée et la vie intérieure d’une société, à travers sa religion dont il s’est profondément pénétré. Les photographies réalisées lors de ses séjours ultérieurs, en 1966 et 1980, sont empreintes davantage encore d’une certaine abstraction dans l’expression, concrétisée et condensée dans un regard. Il semble qu'une relation privilégiée se soit alors constituée entre le photographe et ce pays. Ses images de l'Inde sont la preuve de sa fascination pour la culture et la philosophie indiennes. Henri Cartier-Bresson a longtemps séjourné en Inde. Lors de son premier voyage en 1948, Il a su traduire une atmosphère, une pensée et la vie intérieure d’une société, à travers ... |
Henri CARTIER-BRESSON - prostituées à MexicoMEXICO. Mexico City. Prostituées. Calle Cuauhtemoctzin. 1934. MEXICO. Mexico City. Prostituées. Calle Cuauhtemoctzin. 1934. ... |
Ivor PRICKETT - civils fuyant MossoulCivilians who had remained in west Mosul during the battle to retake the city, lined up for an aid distribution in the Mamun neighbourhood. After months of being trapped in the last remaining ISIS held areas of the city the people in west Mosul were severely short on food and water. Those who chose to remain in the city rather than go to one of the many camps for displaced people, initially relied on aid in order to survive. 15/03/2017 Civilians who had remained in west Mosul during the battle to retake the city, lined up for an aid distribution in the Mamun neighbourhood. After months of being trapped in the last remaining ISIS held areas of the city the people in west M ... |
Zacarias PEREIRA da Mata - phare du Douro pendant la tempête (Getty images)Le phare de Felgueiras (aussi appelé Phare de Boa Nova) est un phare situé en bout de la jetée droite du fleuve Douro dans la freguesia de Foz do Douro de la ville de Porto, dans le district de Porto (Région Nord du Portugal). Le phare est une tour hexagonale en pierre de granit apparent de dix mètres de haut, avec galerie et lanterme rouge. Il dispose d'un petit bâtiment annexe avec des murs peints en blanc. Il émettait un éclat rouge toutes les 5 secondes. La construction de la jetée de Felgueiras a débuté en 1790 pour l'ouverture d'un port dans l'embouchure de la rivière. En 1886 le phare a été mis en service. En 1945, des travaux de modernisation du phare rendent inutiles le phare de Senhora da Luz. En 1979, le phare est automatisé et télécommandé par le phare de Leça. La lumière du phare a été désactivé en 2009 mais la corne de brume reste toujours active. Zacarias Pereira da Mata em Getty Images. Le phare de Felgueiras (aussi appelé Phare de Boa Nova) est un phare situé en bout de la jetée droite du fleuve Douro dans la freguesia de Foz do Douro de la ville de Porto, dans le district de Porto (Région Nord ... |
photo UNRWA - réfugiés palestiniens dans le camp de YarmoukVingt mille réfugiés palestiniens ont été prises au piège à Yarmouk pendant huit mois à cause d'un siège de l'armée syrienne. Un haut fonctionnaire des Nations Unies a décrit les conditions dans un camp de réfugiés palestiniens dans la capitale syrienne comme étant "choquantes". Filippo Grandi, chef de l'U.N. L'Office de secours et de travaux (UNRWA), qui s'occupe des réfugiés palestiniens, s'est rendu dimanche au camp de Yarmouk à Damas. Il a dit qu'il était «profondément perturbé et secoué par ce que j'ai observé» dans le camp, où jusqu'à 20 000 personnes ont été piégées pendant huit mois par un siège de l'armée. L'UNRWA a publié une photo prise en janvier 31, ci-dessus, qui montre une mer de gens alignés pour recevoir des denrées alimentaires. L'administration du président Bashar Assad et, dans une moindre mesure, les rebelles qui luttent pour le renverser, ont été accusés d'empêcher la nourriture et les soins médicaux d'atteindre les gens dans les zones assiégées du pays. Samedi, les États-Unis Le Conseil de sécurité a adopté une résolution historique appelant à la fin des restrictions sur les opérations humanitaires en Syrie. Les résidents du camp palestinien assiégé de Yarmouk font la queue pour recevoir des vivres à Damas, en Syrie, le 1er janvier. 31 janvier 2014. Un responsable des Nations Unies appelle les parties belligérantes en Syrie à permettre aux travailleurs humanitaires de reprendre la distribution de nourriture et de médicaments dans ce district de Damas. L'appel vient comme U.N. Le Secrétaire général Ban Ki-moon a exhorté le gouvernement syrien à autoriser davantage de personnel humanitaire à travailler à l'intérieur du pays, dévasté par son conflit de trois ans. Vingt mille réfugiés palestiniens ont été prises au piège à Yarmouk pendant huit mois à cause d'un siège de l'armée syrienne. Un haut fonctionnaire des Nations Unies a ... |
Berenice ABOTT - portrait de Eugene Atget... |
Berenice ABOTT - Pike and Henry streets, ManhattanL'œuvre de Berenice Abbott illustre une conception de la photographie qu'elle résume en défendant Changing New York pour lequel elle expliquait : « Le rythme de la ville n'est ni celui de l'éternité ni celui du temps qui passe mais de l'instant qui disparaît. C'est ce qui confère à son enregistrement une valeur documentaire autant qu'artistique. » L'essence de la photographie repose sur ce rapport au temps. Le rôle de la photographie est d'enregistrer cet instant qui disparaît que Roland Barthes appellera le ça a été. La photographie dans son rapport au temps fonctionne toujours au passé, comme représentation d'un temps devenu passé. Pourtant les images d'Abbott, comme celles de Lewis Hine et d'Eugène Atget ne sont pas seulement nostalgiques : le passé, en arrière, fixé sur photographie, est à sa place. photographie, usa, , L'œuvre de Berenice Abbott illustre une conception de la photographie qu'elle résume en défendant Changing New York pour lequel elle expliquait : « Le rythme de la ville n'est ni celui de l'éternité n ... |
Samuel ARANDA - Yemen 2011... |
Henri CARTIER-BRESSON - barbed wireWEST GERMANY. 1962. West Berlin. The Berlin wall. WEST GERMANY. 1962. West Berlin. The Berlin wall. ... |
Francoise DEMULDER - Sabra er Chatila 1977... |
Jean GUICHARD - phare de la Jument dans la tempête... |
Hocine ZAOURAR - la madonne de BenthalaLa Madone de Bentalha, surnommée aussi à l'époque de sa parution la Pietà algérienne ou la Madone algérienne, est une photo prise le 23 septembre 1997 par Hocine Zaourar à l'hôpital de Zmirli, près d'Alger. Cette photo met en scène une femme endeuillée et foudroyée par la douleur après le massacre de sa famille par les groupes islamistes armées (GIA) à Benthala, à 15 km au sud d'Alger, dans la nuit du 22 au 23 septembre 1997. Ce massacre s'est déroulé en pleine guerre civile algérienne et a fait près de 200 victimes1. Le thème, le cadrage, les voiles et les drapés, les couleurs, la lumière, évoquent immédiatement pour le regard occidental l’iconographie chrétienne de la douleur de la Vierge lors de la scène de la Déploration. Hocine Zaourar est photographe en Algérie pour le compte de l'AFP. Le lendemain du massacre de Bentalha, il écume les hôpitaux de la région à la recherche des victimes afin de rendre compte de la cruauté du drame. Il réalise notamment, à l'entrée de l'hôpital de Zmirli, trois photos d'une femme saisie par une vive douleur, clichés qu'il envoie aussitôt à l'AFP. Le jour suivant, l'une de ces images est à la une de plus d'une centaine de quotidiens et est titrée la Madone3. La Madone de Bentalha, surnommée aussi à l'époque de sa parution la Pietà algérienne ou la Madone algérienne, est une photo prise le 23 septembre 1997 par Hocine Zaourar à l'hôpital de ... |
L'Aquila, the only image from the top of the state funeral of the earthquake victims of April 6, 2009. In all the victims of the earthquake were 287 © Massimo Sestini L'Aquila, the only image from the top of the state funeral of the earthquake victims of April 6, 2009. In all the victims of the earthquake were 287 © Massimo Sestini ... |
Nick BRANDT - tête de lionNick Brandt (né en 1964) est un photographe anglais qui photographie exclusivement en Afrique. Peter Singer a dit : « Les extraordinaires photographies de Nick Brandt dressent le portrait des animaux tels que le premier environnementaliste américain, Henry Beston, les voyait, c'est-à-dire non comme nos subalternes, mais en tant qu'«autres nations», camarades «prisonniers comme nous de la splendeur et du travail de la terre». Mais, pour prendre ce genre de photographies, il lui faut être plus qu'un artiste. Il doit être un observateur extrêmement patient de chacune des bêtes, des sociétés animales et de l'environnement dans lequel les sujets évoluent. Sa vision des animaux est un antidote à l'arrogance humaine. Ses photographies nous disent, d'une façon qui va bien au-delà des mots, que nous ne possédons pas cette planète, que nous n'en sommes pas ses seuls habitants ». Nick Brandt (né en 1964) est un photographe anglais qui photographie exclusivement en Afrique. Peter Singer a dit : « Les extraordinaires photographies de Nick Brandt dressent le portrait des animaux tels que le premier env ... |
Burhan ÖZBILICI - Emergency hospital in KabulKABUL, AFGHANISTAN -MARCH 29, 2016: A the Emergency hospital Najiba holds her nephew Shabir, age 2, who was injured from a bomb blast which killed his sister in Kabul on March 29, 2016. Najiba had to stay with the children as their mother buried her daughter. In 2016 marked another milestone in its 15-year engagement in Afghanistan. Despite billions of dollars spent by the international community to stabilize the country, Afghanistan has seen little improvement in terms of overall stability and human security. The situation on the ground for Afghans continues to be grave. Security for the Afghan people has also deteriorated in large swaths of the country, further complicating humanitarian response. Afghan civilians are at greater risk today than at any time since Taliban rule. According to UN statistics, in the first half of 2016 at least 1,600 people had died, and more than 3,500 people were injured, a 4 per cent increase in overall civilian causalities compared to the same period last year. The upsurge in violence has had devastating consequences for civilians, with suicide bombings and targeted attacks by the Taliban and other insurgents causing 70 percent of all civilian casualties. Paula Bronstein KABUL, AFGHANISTAN -MARCH 29, 2016: A the Emergency hospital Najiba holds her nephew Shabir, age 2, who was injured from a bomb blast which killed his sister in Kabul on March 29, 2016. Najiba had to stay with the children as their mother ... |
KABUL, AFGHANISTAN -MARCH 29, 2016: A the Emergency hospital Najiba holds her nephew Shabir, age 2, who was injured from a bomb blast which killed his sister in Kabul on March 29, 2016. Najiba had to stay with the children as their mother buried her daughter. In 2016 marked another milestone in its 15-year engagement in Afghanistan. Despite billions of dollars spent by the international community to stabilize the country, Afghanistan has seen little improvement in terms of overall stability and human security. The situation on the ground for Afghans continues to be grave. Security for the Afghan people has also deteriorated in large swaths of the country, further complicating humanitarian response. Afghan civilians are at greater risk today than at any time since Taliban rule. According to UN statistics, in the first half of 2016 at least 1,600 people had died, and more than 3,500 people were injured, a 4 per cent increase in overall civilian causalities compared to the same period last year. The upsurge in violence has had devastating consequences for civilians, with suicide bombings and targeted attacks by the Taliban and other insurgents causing 70 percent of all civilian casualties. KABUL, AFGHANISTAN -MARCH 29, 2016: A the Emergency hospital Najiba holds her nephew Shabir, age 2, who was injured from a bomb blast which killed his sister in Kabul on March 29, 2016. Najiba had to stay with the children as their mother ... |
pêche au Sri LankaLa pêche sur échasse, ou pêche sur pilotis, est une ancienne tradition pratiquée par plusieurs familles de pêcheurs de Galle au Sri Lanka. Cette coutume s’est depuis transmise de génération en génération afin que cette technique ne disparaisse jamais. La pêche sur échasse est née lorsqu’il n’y a pu eu assez de rochers pour que tous les pêcheurs puissent s’y installer tandis que la guerre avait laissé des poteaux en fer plantés dans la barrière de corail. la pêche sur échasse est une tradition à laquelle les Sri Lankais sont particulièrement attachés. Les pêcheurs vont se percher sur des poteaux de 2m pour pêcher 2 fois par jour : ils partent vers 5h du matin pour 3h de pêche puis reviennent en fin d’après-midi. Les pêcheurs sri lankais attendent patiemment sur leurs échasses en tenant une ligne avec un crochet et en faisant des mouvements constamment dans l’eau afin d'attirer les poissons. Pour stocker leurs trouvailles, ils disposent d’un sac en plastique attaché à leur taille. La pêche sur échasse, ou pêche sur pilotis, est une ancienne tradition pratiquée par plusieurs familles de pêcheurs de Galle au Sri Lanka. Cette coutume s’est depuis transmise de génératio ... |
Serguei PONOMAREV - refugies en MéditerranéeSergey Ponomarev est un photographe indépendant qui est surtout connu pour ses travaux de photojournalisme illustrant la vie quotidienne et la culture russe ainsi que des images d'actualité de l'Uprisal libyen. Avant de devenir freelance en 2012, Sergey a travaillé pour l'Associated Press à partir de 2003. Il a remporté de nombreux prix de photographie internationaux et nationaux. Récemment, il a remporté le prix Pulitzer pour la photographie de presse en 2016 et le prix John Farber au Overseas Press Club. Il a également remporté le troisième prix dans la catégorie du Prix de l'image de l'année 2014, a reçu le premier prix pour un reportage photo éditorial aux International Photography Awards, a reçu une mention honorable au concours de photographie National Geographic 2014, a été présélectionné pour les Terry O'Neil Photography Awards et a reçu un prix d'excellence de la Society of Publishers in Asia pour son reportage sur le typhon Haiyan. Né à Moscou, Sergey est diplômé de l'Université d'État de Moscou et de l'Académie du travail et des relations sociales. General News, 1st prize stories – photo 1. Sergey Ponomarev, Russia, 2015, for The New York Times. Refugees arrive by boat near the village of Skala on Lesbos, Sergey Ponomarev est un photographe indépendant qui est surtout connu pour ses travaux de photojournalisme illustrant la vie quotidienne et la culture russe ainsi que des images d'actualité de l'Uprisal libyen. Avant de de ... |
Ivor PRICKETT - les civils quittent Mossoul en guerreCivilians who had remained in west Mosul during the battle to retake the city, lined up for an aid distribution in the Mamun neighbourhood. After months of being trapped in the last remaining ISIS held areas of the city the people in west Mosul were severely short on food and water. Those who chose to remain in the city rather than go to one of the many camps for displaced people, initially relied on aid in order to survive. 15/03/2017 Civilians who had remained in west Mosul during the battle to retake the city, lined up for an aid distribution in the Mamun neighbourhood. After months of being trapped in the last remaining ISIS held areas of the city the people in west M ... |
Queue for food in Syria’s Yarmouk refug Queue for food in Syria’s Yarmouk refug ... |
Sebastiao SALGADO - femmes du monde. Yemen... |
Sebastiao SALGADO - prière dans la mosquée Istiqlal, Djakarta... |
Sebastiao SALGADO - mère et enfant... |
Sebastiao SALGADO - sel de la terreLe photographe, économiste de formation, porte un regard pénétrant sur les paradoxes du progrès. Chacune de ses photographies constitue aujourd’hui un document. Servies par une écriture photographique personnelle, qui s’appuie sur le noir et blanc, beaucoup de ses images sont devenues des icônes dont la beauté plastique est toujours enrichie de sens. L’ensemble parle, avec respect, de la juste place de l’homme dans la vie et la société. Menés avec rigueur sur le terrain, y compris dans les zones dangereuses, parfois difficiles d’accès, les travaux photographiques de Sebastião Salgado se succèdent, depuis presque quarante ans, telle une démonstration. Le photographe, économiste de formation, porte un regard pénétrant sur les paradoxes du progrès. Chacune de ses photographies constitue aujourd’hui un document. Servies par une écriture photograp ... |
Sebastiao SALGADO - para Bresil... |
Sebastiao SALGADO - Sahel... |
Sebastiao SALGADO - SahelEn 1984 et 1985, le Sahel, en Afrique a été soumise à une sécheresse d'une ampleur catastrophique, jamais connue auparavant. La guerre s'est déroulée dans plusieurs régions, au Tchad, en Ethiopie, et, à cause de la sécheresse ou de l'utilisation de ce phénomène naturel, a amplifié l'exode et a chassé les populations des villages où elles auraient pu espérer survivre. Sebastião Salgado y est resté plusieurs mois pour photographier la catastrophe au Mali, au Tchad, en Ethiopie, au Soudan et à Erythrée. Il a travaillé principalement avec les équipes de Médecins sans Frontières. Les images ont été vues à travers le monde, publiées par la presse internationale. En 1984 et 1985, le Sahel, en Afrique a été soumise à une sécheresse d'une ampleur catastrophique, jamais connue auparavant. La guerre s'est déroulée dans plusieurs régions, au Tchad, en Ethi ... |
Sebastiao SALGADO - Sahel... |
Sebastiao SALGADO - Gourna-Rharous, Mali, 1985La photographie a été prise en 1985 au Mali. Deux grandes mains squelettiques enserrent une tête douloureuse, une sorte de statue funéraire courbée sous le poids de la condition humaine. Salgado, Gourna-Rharous, Mali, 1985 « Plus que jamais, je sens que la race humaine est une. Au-delà des différences de couleur, de langue, de culture et de possibilités, les sentiments et les réactions de chacun sont identiques. Les gens fuient les guerres pour échapper à la mort ; ils émigrent pour améliorer leur sort ; ils se forgent de nouvelles existences dans des pays étrangers : ils s’adaptent aux pires situations… » Salgado choisit lui-même ses projets : il travaille toujours en noir et blanc et avec une saturation minimale. Ses sujets sont une observation de la vie de ceux qui vivent et qui travaillent dans des conditions difficiles : migrants, mineurs, victimes de la famine… Sa grande force vient de la prise en compte des aspects économiques et sociaux, ce qui donne à son travail une profondeur peu communne dans le milieu du photojournalisme. Sebastião Salgado est un photographe brésilien, né à Aimorés en 1944. Tout d’abord tourné vers des études économiques, il change brusquement de voie en 1973, après avoir été recruté par l’Organisation internationale du café (ICO). Il commence alors à s’intéresser à la photographie en autodidacte. Il intègre ensuite les plus grandes agences photographiques, comme Sygma (1974-1975), Gamma (1975-1979) et Magnum (1979-1994). La photographie a été prise en 1985 au Mali. Deux grandes mains squelettiques enserrent une tête douloureuse, une sorte de statue funéraire courbée sous le poids de la condition humaine. Salgado, Gourna ... |
Sebastiao SALGADO - mine d'or, Serra Pelada 1986Serra Pelada (littéralement : Montagne pelée) est une importante mine d'or brésilienne à ciel ouvert située à 430 kilomètres au sud de l'embouchure du fleuve Amazone. La mine a été rendue célèbre par les images prises par Alfredo Jaar puis par Sebastião Salgado qui montrent une multitude de travailleurs transportant de grandes quantités de minerai sur leur dos. Le nombre de mineurs occupés à cette tâche est estimé à au moins 100 000 personnes, ce qui en fait l'une des plus grandes mines du monde. Aujourd'hui, la mine de Serra Pelada est abandonnée et l'excavation géante s'est remplie d'eau, créant un petit lac pollué. Un enfant se baignant dans une rivière de l'État de Pará trouva une pépite d'or pesant six grammes, à la suite de quoi, en janvier 1979, l'agriculteur Genésio Ferreira da Silva engage un géologue pour déterminer si l'or trouvé sur sa propriété faisait partie d'un plus grand dépôt. Bientôt le bruit se répand que la propriété de da Silva est située sur l'un des plus grands gisements du monde. À la fin de cette semaine, des milliers de personnes délaissent leur métier d'agriculteur pour celui de mineur, provoquant une véritable ruée vers l'or. Cinq semaines plus tard, quelque 10 000 mineurs creusent sur la propriété de Ferreira et 12 000 autres à proximité. D'énormes pépites sont rapidement découvertes, la plus grosse pesant près de 6,8 kg, soit 108 000 $ au prix du marché de 19801. Au début, la seule façon de parvenir sur le site était en avion ou à pied. Les mineurs payaient souvent des prix exorbitants pour atteindre en taxi l'extrémité d'un chemin de terre depuis la ville la plus proche, puis ils marchaient environ quinze kilomètres pour atteindre le site. Serra Pelada (littéralement : Montagne pelée) est une importante mine d'or brésilienne à ciel ouvert située à 430 kilomètres au sud de l'embouchure du fleuve Amazone. La mine a ét& ... |
Sebastiao SALGADO - mine d'or, Serra Pelada 1986Chaque jour, 50 000 «garimperos» (chercheurs d'or) descendent les mines à ciel ouvert de Serra Pelada, de la taille d'un terrain de football, dans l'État du Para. Contrôlée par l'État, donnant des concessions (Barranco) de 65 pieds carrés de puits verticaux, chaque propriétaire doit creuser vers le bas. Chaque puits a dix personnes qui y travaillent (creuseurs, transporteurs, superviseurs) Sacs de transport de 65/130 livres de sol pour 0,20 cents US par sac. Les 50 000 hommes luttent au-dessus des parcelles et des échelles pour atteindre le bord supérieur, où ils reçoivent un «bordereau» pour leur chargement. La mine est ouverte à partir de septembre / janvier la saison sèche, le terrain est impossible pour les machines à faire le travail. Les chercheurs d'or sont appelés «porcs de boue» car ils pataugent dans la saleté et la vase. Si l'or est trouvé, le propriétaire de l'intrigue paie 10% de commission à la coopérative. Certains ont eu la chance de trouver jusqu'à 6,5 livres d'or, il y a encore de l'espoir dans ce Klondike brésilien à la recherche de Fortune. Serra Pelada, État du Pará, Brésil, 1986. Chaque jour, 50 000 «garimperos» (chercheurs d'or) descendent les mines à ciel ouvert de Serra Pelada, de la taille d'un terrain de football, dans l'État du Para. Contrôlée par l'État, donnant d ... |
Sebastiao SALGADO - chrch gate station 1995... |
Sebastiao SALGADO - mine d'or, Serra Pelada 1986... |
Sebastiao SALGADO - recolte du café... |
Sebastiao SALGADO - femmes allant au marché de ChimboteLes femmes, dont les maris sont partis en ville, portent leurs produits au marché de Chimbote. Région de Chimborazo. Les femmes, dont les maris sont partis en ville, portent leurs produits au marché de Chimbote. Région de Chimborazo. ... |
Massimo SESTEHNI - embarcation de migrants en mediterranneeWorld Press Photo 2015, general news , 2nd prize singles: rescue from Bergamini ship of italian Navy 07 June 2014 mediterranean sea, Italy © Massimo Sestini World Press Photo 2015, general news , 2nd prize singles: rescue from Bergamini ship of italian Navy 07 June 2014 mediterranean sea, Italy © Massimo Sestini ... |
Yann ARTHUS-BERTRAND - vue aérienne de Venise... |
Chen JIE - Vue aérienne de Tianjin, en Chine après les explosions du 15 aout 2015Les explosions de Tianjin en 2015 ont lieu à partir du 12 août 2015 vers 23 h 30 dans un entrepôt chimique du nouveau district de Binhai, une importante zone économique spéciale du port de Tianjin, en République populaire de Chine. L'entrepôt ayant explosé contenait plus de 2 400 tonnes de produits toxiques dont 700 tonnes de cyanure de sodium. Le bilan fait état de 173 morts et près de 797 blessés. General News, Singles du 3e prix. Chen Jie, Chine, 2015, vue aérienne de Tianjin Explosion de la destruction après l'explosion à Tianjin, en Chine, le 15 août Les explosions de Tianjin en 2015 ont lieu à partir du 12 août 2015 vers 23 h 30 dans un entrepôt chimique du nouveau district de Binhai, une importante zone économique spéciale du port de Tianjin, en R&eacu ... |