Agnolo BRONZINO - adoration du serpent de bronze (fresque Chapelle d Eleonore de Tolede, Palazzo Vecchio) ()... |
Agnolo BRONZINO - adoration du serpent de bronze (fresque Chapelle d Eleonore de Tolede, Palazzo Vecchio) (detail)... |
Agnolo BRONZINO - la traversée de la mer rouge (fresque Chapelle d Eleonore de Tolede, Palazzo Vecchio)Crossing of the Red Sea. 1540. Fresco. Chapelle d Eleonore de Tolede Palazzo Vecchio - Palazzo Vecchio, Florence, Italy.jpg Crossing of the Red Sea. 1540. Fresco. Chapelle d Eleonore de Tolede Palazzo Vecchio - Palazzo Vecchio, Florence, Italy.jpg ... |
Agnolo BRONZINO - la traversée de la mer rouge (fresque Chapelle d Eleonore de Tolede, Palazzo Vecchio) (detail)... |
Agnolo BRONZINO - la chute de la manne (fresque Chapelle d Eleonore de Tolede, Palazzo Vecchio)... |
Agnolo BRONZINO - Madonne à l'enfant avec St Jean-Baptiste et Ste ElisabethAngelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le Bronzino ou Agnolo Bronzino (17 novembre 1503, Florence – 23 novembre 1572, Florence), est un peintre maniériste italien. Il doit son surnom à son teint sombre ou à la couleur de ses cheveux. Bronzino est l'apprenti du Pontormo. Il l'aide dans des commandes importantes telles que les fresques de la chartreuse de Galluzzo, où il s'est réfugié pendant la peste. Devenu peintre indépendant, Il y fait ses premiers portraits et élabore un style personnel. Au soin presque obsessionnel du dessin qui caractérise les œuvres de Pontormo, il y ajoute un traitement très particulier de la couleur qu'il étale de façon claire et compacte, presque émaillée. Angelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le Bronzino ou Agnolo Bronzino (17 novembre 1503, Florence – 23 novembre 1572, Florence), est un peintre maniériste italien. Il doit son surnom à son teint sombre ou à la c ... |
Agnolo BRONZINO - Venus, Cupidon et Satyre... |
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Agnolo BRONZINO - la sainte famille avec l'enfant saint jeanAngelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le Bronzino ou Agnolo Bronzino (17 novembre 1503, Florence – 23 novembre 1572, Florence), est un peintre maniériste italien. Il est le fils adoptif et apprenti de Pontormo, et aussi l'élève de Girolamo Genga. Il doit son surnom à son teint sombre ou à la couleur de ses cheveux. Il a partiellement inspiré à Hans Christian Andersen le conte Le Sanglier de bronze où l'un de ses tableaux est mis en scène. Son disciple et fils adoptif, Alessandro Allori, était également surnommé « il Bronzino ». The Pushkin State Museum of Fine Arts, Moscow | Ground floor | Room 7. Byzantine Art. Italian Art of the 13th to 16th centuries The Holy Family With The Infant Saint John Early 1540-SDetails Agnolo Bronzino@@@ Angelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le Bronzino ou Agnolo Bronzino (17 novembre 1503, Florence – 23 novembre 1572, Florence), est un peintre maniériste italien. Il est le fils adoptif et apprenti de Pontormo, et aussi l'&e ... |
Agnolo BRONZINO - deposition du ChristDeposition of Christ. 1545. Oil on wood. 268 x 173 cm. Musee des Beaux-Arts, Besancon, France Deposition of Christ. 1545. Oil on wood. 268 x 173 cm. Musee des Beaux-Arts, Besancon, France ... |
Agnolo BRONZINO - portrait d'Eleonore de Tolède et son fils Giovanni de MédicisOil on wood. 115 x 96 cm. Uffizi Gallery, Florence, Italy Oil on wood. 115 x 96 cm. Uffizi Gallery, Florence, Italy ... |
Agnolo BRONZINO - la sainte famille... |
Agnolo BRONZINO - portrait de Lorenzo LenziPortrait of Lorenzo Lenzi. 1527-1528. Oil on panel. 90 x 71 cm. Castello Sforzesco, Milan, Italy Portrait of Lorenzo Lenzi. 1527-1528. Oil on panel. 90 x 71 cm. Castello Sforzesco, Milan, Italy ... |
Agnolo di Cosimo dit BRONZINO - portrait d'une dame en vertLe caractère chimiquement instable du vert en fait une couleur à double tranchant : celle de l’espérance, du hasard, du jeu mais aussi parfois de la malchance. Le vert n’est pas compliqué à obtenir : de nombreuses racines, des végétaux ou des écorces peuvent servir de colorants. Mais il est très difficile de le stabiliser. Les verts tiennent mal aux fibres, les tissus se délavent rapidement. Comment rendre durable cette couleur si fragile? De nombreuses techniques furent utilisées en superposant le jaune et le bleu ou le mélange d’une décoction d’écorce de ciguë dans de l’oxyde de cuivre récupéré en grattant des pièces de monnaie… En Europe du Nord, les mélanges des couleurs furent longtemps interdits chez les teinturiers. Cette interdiction fut peu à peu levée à la Renaissance, le vert de Saxe devient très à la mode et la coutume de s’habiller de vert pour le retour du printemps, petit à petit se généralise en dépit de son prix élevé dû aux deux bains successifs exigés pour donner la couleur verte. Le caractère chimiquement instable du vert en fait une couleur à double tranchant : celle de l’espérance, du hasard, du jeu mais aussi parfois de la malchance. Le vert n’est pas compliqué à ... |
Agnolo BRONZINO - portrait de jeune hommeOil on wood. 96 x 75 cm. Metropolitan Museum of Art, New York NY Oil on wood. 96 x 75 cm. Metropolitan Museum of Art, New York NY ... |
Agnolo BRONZINO - Saint SebastienSt Sebastian. 1525-1528. Oil on panel. 87 x 77 cm. Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid, Spain St Sebastian. 1525-1528. Oil on panel. 87 x 77 cm. Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid, Spain ... |
Agnolo BRONZINO - Allégorie avec Vénus et CupidonCette œuvre, probablement crée à la cour de Toscane et destinée au roi de France a été conçue comme une énigme, et comporte des symboles et des emblèmes provenant du monde de la mythologie et de l'héraldique. L'œuvre aurait constitué un présent idéal pour le roi de France : il était connu pour ses appétits, avait un faible pour la magnificence et la culture italianisantes, et aimait en outre l'héraldique et les emblèmes énigmatiques. Déchiffrer le symbolisme de l'œuvre aurait aussi servi de prétexte à une longue contemplation des corps de Vénus et de Cupidon et des détails lubriques de leur étreinte. La déesse de l'Amour et de la beauté, identifiable à la pomme que Pâris lui avait donnée et à ses colombes, a retiré sa flèche à Cupidon. A ses pieds, des masques, symbolisant peut-être la sensualité de la nymphe et du satyre, semblent lever les yeux vers les amants. L'enfant riant qui, un anneau et des clochettes à la cheville, jette sur eux des pétales de roses, sans se soucier de l'épine qui lui transperce le pied droit, incarne le Plaisir. Derrière lui, la figure au visage franc mais au corps monstrueux qui présente d'une main un rayon de miel et cache de l'autre le dard de sa queue, incarne, quant à elle, la tromperie. De l'autre coté des amants se tient une figure sombre, autrefois considérée comme une personnification de la Jalousie mais récemment identifiée comme celle de la Syphilis, maladie du Nouveau Monde qui avait probablement fait son entrée en Europe et pris des proportions endémiques au XVIème siècle. Le sujet de la scène centrale se révèle donc être - avec toutes ses conséquences cuisantes- l'amour non chaste, auquel préside le plaisir et que la tromperie encourage. Dans le coin supérieur gauche, Oubli, dans l'impossibilité physique de se souvenir, tente de tendre un voile sur l'ensemble de la scène, mais il en est empêché par le Temps, ce qui est peut-être une allusion aux effets à retardement de la syphilis. Aussi froids que le marbre ou l'émail, les nus se déploient sur un somptueux bleu outremer. L'ensemble de la composition rappelle les motifs créés par Bronzino à la même époque pour la nouvelle manufacture de tapisseries du Duc. Mais l'analogie avec un objet de luxe qui a rendu les cours d'Italie tristement célèbres s'impose encore davantage : telles ces fabuleuses bagues à poison des Borgia qui attiraient les regards mais dont l'ouverture était menace de mort, l'image voile et dévoile son amère morale. Allégorie avec Vénus et Cupidon Bronzino ,1540-50 Huile sur toile, 146.5 x 116.8 cm. National Gallery, Londres Cette œuvre, probablement crée à la cour de Toscane et destinée au roi de France a été conçue comme une énigme, et comporte des symboles et des emblèmes provenant du monde de la ... |
Agnolo BRONZINO - sainte famille... |