Ludwig Van BEETHOVEN - Egmont - ouvertureL'ouverture, devenue la plus célèbre du compositeur avec celle de Coriolan, puissante et expressive, est une des dernières œuvres de la période héroïque de Beethoven, dans la lignée de la Cinquième Symphonie achevée deux ans plus tôt. Elle fut composée après les neuf autres pièces. Elle est écrite en fa mineur et enchaîne une introduction lente de 24 mesures, Sostenuto, ma non troppo, une partie Allegro de 262 mesures, de forme sonate et une coda victorieuse Allegro con brio de 60 mesures. L'ouverture, devenue la plus célèbre du compositeur avec celle de Coriolan, puissante et expressive, est une des dernières œuvres de la période héroïque de Beethoven, dans la lignée de la ... |
Johannes BRAHMS - danse hongroise n1 pour pianoLes Danses hongroises sont une œuvre de Johannes Brahms. L'intérêt du musicien pour la musique tzigane fut très précoce : dès l'âge de dix-neuf ans, il accompagna le violoniste hongrois Eduard Reményi à travers l'Allemagne, qui l'initia à la musique de son pays et lui présenta Joseph Joachim. Celui-ci devint par la suite son ami. Au nombre de vingt-et-une, les danses hongroises furent composées sur plusieurs années : les six premières furent proposées dès 1867 à un éditeur, qui les refusa. Les dix premières parurent en 1869 dans leur version pour piano à quatre mains. Les dernières ont été éditées en 1880. Elles ne comportent pas de numéro d'opus, le compositeur ne les considérant pas comme des œuvres originales, mais de simples adaptations d'œuvres de musique traditionnelle. Il semble cependant que les thèmes des onzième, quatorzième et seizième soient totalement originaux. Il en existe de nombreuses transcriptions. Seules la première, la troisième et la dixième furent orchestrées par Johannes Brahms lui-même, en 1885. Le compositeur allemand Albert Parlow orchestra les onzième, douzième, treizième, quatorzième, quinzième et seizième. Le compositeur tchèque Antonín Dvořák fit les orchestrations des cinq dernières. Les autres furent orchestrées par le chef d'orchestre suédois Johan Andreas Hallén (deuxième), le compositeur russe Paul Juon (quatrième), Schmeling (cinquième, sixième et septième) et Gál (huitième et neuvième). Brahms fit un arrangement des dix premières pour piano seul. Son ami le violoniste Joseph Joachim en fit également une version pour violon et piano. Les Danses hongroises sont une œuvre de Johannes Brahms. L'intérêt du musicien pour la musique tzigane fut très précoce : dès l'âge de dix-neuf ans, il accompagna le violoniste hongrois Eduard R ... |
Antonin DVORAK - slavonic dancesLes Danses slaves d'Antonín Dvořák figurent parmi ses œuvres les plus appréciées. Il s'agit de deux séries contenant chacune huit pièces n'ayant aucune parenté tonale ou thématique entre elles. L'une et l'autre ont été écrites en premier lieu pour piano à quatre mains, avant d'être orchestrées par le musicien lui-même. L'écriture de ces danses a été inspirée au compositeur par les Danses hongroises de Johannes Brahms sur une suggestion de Fritz Simrock, éditeur de ce dernier. Dvořák a lui-même orchestré cinq des danses brahmsiennes. Le musicien tchèque s'est, à de nombreuses reprises, inspiré des musiques folkloriques de son pays ou d'autres régions. Il avait en particulier écrit des Danses écossaises en 1877. Ses Danses slaves ne sont cependant pas de simples transcriptions, comme l'avait pu faire Brahms pour certaines des premières Danses hongroises. De plus, contrairement à ce dernier, Dvořák s'est chargé intégralement de leur orchestration. Cette inspiration slave est relativement nouvelle, par rapport à la musique hongroise, déjà représentée par Brahms, Franz Liszt et même Hector Berlioz (Marche hongroise). Les Danses slaves d'Antonín Dvořák figurent parmi ses œuvres les plus appréciées. Il s'agit de deux séries contenant chacune huit pièces n'ayant aucune parenté tonale ou thémati ... |
Edvard GRIEG - peer gynt - la mort d'Asebelle et triste musique, correspondant à la mort d’Aase – Aase étant la mère de Peer Gynt: dans la première partie, la douleur, qui va crescendo, puis dans la seconde, la résignation… qui se termine finalement par une note d’espoir, inattendue… belle et triste musique, correspondant à la mort d’Aase – Aase étant la mère de Peer Gynt: dans la première partie, la douleur, qui va crescendo, puis dans la seconde, la résignation… qu ... |
Edvard GRIEG - peer gynt - Dans l'antre du roi de la montagneDans ses péripéties à travers le monde, Peer Gynt est un personnage à la recherche d'aventure et d'amour. Encore en Norvège, après avoir fui son village et ayant séduit l'une des filles du légendaire roi des montagnes de Dovre, il se retrouve dans un monde de gnomes, de trolls et de démons. Sa vie étant en danger, il est à nouveau forcé de s'enfuir. Dans l'antre du roi de la montagne, introduction avec chœur et danse de la sixième scène au milieu de l'acte deux, décrit musicalement pendant environ trois minutes cette situation. Dans l'antre du roi de la montagne (en norvégien : I Dovregubbens hall) est un extrait de la musique de scène, no 7 de l'op. 23, qu'Edvard Grieg composa en 1874 pour la pièce de théâtre Peer Gynt, écrite par l'auteur norvégien Henrik Ibsen en 1867, et jouée pour la première fois à Christiania (actuel Oslo) le 24 février 18761. Le compositeur sélectionnera plus tard cette pièce en si mineur, notée 4/4, Alla marcia e molto marcato (à la façon d'une marche et très martelé), puis più vivo (plus rapide) et enfin stringendo al fine (accélérer jusqu'à la fin), pour constituer le mouvement final de la première de deux suites, op. 46 pour orchestre symphonique assemblées en 1888 et en 1891. Dans ses péripéties à travers le monde, Peer Gynt est un personnage à la recherche d'aventure et d'amour. Encore en Norvège, après avoir fui son village et ayant séduit l'une des filles du l& ... |
Edvard GRIEG - Peer Gynt suite n1 - la mort d'Ase... |
Edvard GRIEG - Peer Gynt suite n1 - le matin... |
Edvard GRIEG - Peer Gynt suite n2 - la chanson de Solweig... |
Edvard GRIEG - peer gynt - suite pour ochestre n1En 1874, Edvard Grieg compose une musique de scène pour la pièce de théâtre Peer Gynt du dramaturge norvégien Henrik Ibsen. Des 22 numéros, Edvard Grieg en sélectionnera huit, les arrangeant et les réorchestrant en deux suites pour orchestre symphonique. La suite no 1, op. 46, a été écrite en 1888 1. Au matin, Allegro Pastorale 2. La mort d'Åase, Andante Doloroso 3. Danse d'Anitra, Tempo Di Mazurka 4. Dans l'antre du roi de la montagne, Alla Marcia et Molto Marcato, Più Vivo, Stringendo al fine Peer Gynt est un drame poétique devenu pièce de théâtre de l'auteur norvégien Henrik Ibsen sur une musique du compositeur Edvard Grieg. Elle est jouée pour la première fois au Christiania Theatre (en) de Oslo le 24 février 1876 et reçoit un accueil triomphal auquel la scénographie vivante et surtout la musique époustouflante concourent. En 1874, Edvard Grieg compose une musique de scène pour la pièce de théâtre Peer Gynt du dramaturge norvégien Henrik Ibsen. Des 22 numéros, Edvard Grieg en sélectionnera huit, les arrangeant e ... |
Felix MENDELSSOHN - concerto pour piano n1 op25Le Concerto pour piano et orchestre no 1 en sol mineur op. 25 (MWV O 7) a été composé par Felix Mendelssohn durant un voyage en Italie, et créé à Munich le 17 septembre 1831 par l'auteur. Il précède de peu l'ouverture Les Hébrides. Mendelssohn a 21 ans et sa maturité artistique se fait alors sentir. Dès ses 18 ans, il nourrissait l'idée de composer pour être reconnu comme compositeur, mais aussi comme interprète. Ce concerto est sa première œuvre du genre et environ un an après le début de sa composition, celle-ci était terminée. Cette pièce a été, du vivant de Mendelssohn, la plus jouée en Europe. Elle aurait été l'œuvre la plus appréciée de la Reine Victoria. De nombreuses esquisses ont été élaborées par Mendelssohn durant sa jeunesse. Entre 12 et 14 ans, il s'était déjà essayé au genre du concerto pour piano et même pour deux pianos, mais dans un but pédagogique. Il voulait travailler avant tout sa technique de jeu (entre piano et orchestre) tout en voulant maîtriser la forme. L'œuvre est dédiée à Delphine von Schauroth, pianiste que Mendelssohn rencontra en 1830 à Munich peu avant son départ en Italie. Certains voient d'ailleurs dans l'impatience fiévreuse de l'œuvre, et notamment de ses premières mesures, une véritable déclaration d'amour1. La dédicataire a joué ce concerto durant 40 ans. En 1831, lors d'une visite à Munich, il envisage de se marier avec von Schauroth. Mendelssohn écrit alors à sa sœur Fanny que Delphine von Schauroth a composé un passage de son Concerto pour piano no 1 en sol mineur , « qui lui fait un effet saisissant ». Cependant, il n'a jamais révélé quel passage elle avait écrit 2. Le concerto a été créé en 1831 et Mendelssohn lui a dédié l'œuvre. L'œuvre est divisée en trois mouvements. Les deux premiers s'enchaînent sans interruption (cas assez fréquent chez Mendelssohn, comme dans son Concerto pour violon no 2 en mi mineur)[réf. nécessaire]. Molto Allegro con fuoco, en sol mineur (7 min 20 s) Andante, en mi majeur (6 min 15 s) Presto, en mi mineur - Molto Allegro e Vivace, en sol majeur (6 min 00 s) Le concerto est écrit pour piano et orchestre symphonique classique. Le Concerto pour piano et orchestre no 1 en sol mineur op. 25 (MWV O 7) a été composé par Felix Mendelssohn durant un voyage en Italie, et créé à Munich le 17 septembre 1831 par l'auteur. Il pr&eacu ... |
Helene de MONTGEROULT - sonate pour piano n9 op5Hélène de Montgeroult (Lyon, 2 mars 1764 – Florence, 20 mai 1836) est une compositrice et pianiste française, reconnue comme étant une des meilleures interprètes de piano-forte et improvisatrices de son temps. Elle est considérée par son biographe Jérôme Dorival, comme un pont entre classicisme et romantisme : elle « s'impose comme le chaînon manquant entre Mozart et Chopin ». La critique actuelle note que sa musique semble relier Haydn et Mozart à Schumann, Mendelssohn, Schubert ou encore Chopin. Ainsi le Père Claude Ollivier parle des « pièces de piano qui sont de véritables bijoux, souvent visionnaires, annonçant dans la tradition même d’un Bach les grands du romantisme de Schumann, Chopin à Mendelssohn et Liszt ». Hélène de Montgeroult (Lyon, 2 mars 1764 – Florence, 20 mai 1836) est une compositrice et pianiste française, reconnue comme étant une des meilleures interprètes de piano-forte et improvisatrices de ... |
Cioachino ROSSINI - ouverture du barbier de Seville... |
Camille SAINT-SAENS - danse macabre... |
Franz SCHUBERT - Rondo pour violon et orchestre mineur D 438... |
Francisco TARREGA - Capricho árabe... |
Richard WAGNER - Tannhauser - le choeur des pelerins... |