DIE NICHTEN DER FRAU OBERST, Erwin C. Dietrich 1980, Brigitte Lahaie (film e)Les nièces du colonel , basé très librement sur un roman attribué à Guy de Maupassant (Les cousines de la colonel ), est un film sexuel suisse de 1979 d' Erwin C. Dietrich . La colonel éponyme, Madame Yanne, est la toute jeune veuve d'un officier. Elle s'occupe de ses jolies nièces Florentine et Julia, qui vivent actuellement leurs tendances lesbiennes et s'intéressent actuellement plus l'une à l'autre qu'à faire tourner les têtes dans le monde lubrique des hommes. En tant qu'étalon d'élevage, Erik serait très heureux de sauter sur les deux nièces à tout moment. Le non moins beau Simon a depuis longtemps un œil sur Florentine et veut non seulement la mettre au lit, mais veut même l'épouser. Cette nièce de Mme Oberst n'est pas du tout opposée, mais aimerait d'abord tester ses qualités d'amant horizontalement. Yannes a également en tête un mari convenable pour Julia, une peintre, qu'elle aimerait d'abord tester pour voir s'il pourrait rendre Julia heureuse à l'avenir. Lorsqu'elle veut délibérément utiliser un épi de maïs près de lui pour des jeux de masturbation, il a quelque chose de plus approprié pour amener Mme Oberst à l'orgasme. Le futur mari de Julia obtient un A au test sexuel. Il y a aussi du mouvement dans les constellations relationnelles au sein du domaine qu'elle dirige, mais Mme Oberst ne semble pas encore être en mesure d'échapper au veuvage. Pour l'instant… Les nièces du colonel , basé très librement sur un roman attribué à Guy de Maupassant (Les cousines de la colonel ), est un film sexuel suisse de 1979 d' Erwin C. Dietrich . La colonel épon ... |
LES TUCHE, Olivier Baroux 2010, Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty (societe)@A Bouzolles, tout le monde connaît la famille Tuche. Jeff, Cathy et leurs trois enfants vivent du système D. Respectueuse de la philosophie Tuche, l'homme n'est pas fait pour travailler, toute la famille s'emploie à être heureuse malgré le cruel manque de revenus. Leurs vies étaient toutes tracées. Ils seraient toujours pauvres, mais heureux. TELERAMA Une famille de gentils ploucs gagne à la loterie, se rend à Monaco, rencontre des bourgeois-beaufs. Pas forcément affligeant, mais terriblement ennuyeux. Et dire qu’ils ont fait trois suites... Le film d'Olivier Baroux — le compère de Kad Merad — lorgne davantage vers le conte de fées raplapla que vers les délires absurdes des deux humoristes. Comme souvent avec ce type de comédie, tout le « comique » repose sur un ressort rouillé : la confrontation de deux univers, celui des gentils prolos contre celui des bourgeois bien sapés mais beaufs à l'intérieur. Si Jean-Paul Rouve arrache quelques sourires au forceps, c'est qu'il rappelle, avec sa coupe mulet, sa moustache et son accent abominable, le personnage d'un sketch des Robins des Bois. Mais le défilé des caméos (Kad Merad, Omar Sy, le journaliste sportif Pierre Ménès) ne sauve pas les autres gags, paresseusement écrits et réalisés. Pas forcément affligeant, juste terriblement ennuyeux. A Bouzolles, tout le monde connaît la famille Tuche. Jeff, Cathy et leurs trois enfants vivent du système D. Respectueuse de la philosophie Tuche, l'homme n'est pas fait pour travailler, toute la famille s'emploie à &eci ... |