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(taille reelle)
Ta voix ()
Ta voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je t’aime.
Tu caresses mon corps de tes deux yeux brillants.
Tu me prends sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.
Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu m’aimes.
Tu serres nos corps jusqu’à la douleur.
Tu dessines dans le vide des arabesques d’or.
Le sol, le tapis, deviennent un champ immense
où ta voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Je t’aime.
Tu me mords, entres en moi comme un loup à l'affut.
Tu cambres mon corps à la fureur du tien
et nos deux voix s’épousent.
Tu me souffles des mots crus
et allume des incendies que tu t’empresses d’éteindre.
Tu attises la faim que mon ventre conçoit pour le tien.
Tu remontes mes jambes et des feux d’artifices sillonnent notre ciel.
Tu m’aime.
Tu te glisses dans mon dos et prend mes seins en mains,
Tu me parles des étoiles, de la magie du ciel.
Tu t’appuies contre moi pour me faire sentir ton desir,
Tu te penches sur ma nuque et te glisse dans mon ventre.
Tu me fouilles de ta langue, tu m’explores de ses doigts.
Tu te glisses sur moi, je t’embrasse, te caresse.
Tes gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de tes yeux
quand tu me désires.
Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent.
Tu remontes ma robe, la remonte encore,
et te glisse dans mon ventre.
J’aime.
Ton sexe dans le mien, ta peau sur la mienne
jusqu’à ne plus savoir
où commence ton corps et où finit le mien.
Je t’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle.
Tu t’enfonces en moi et le monde disparaît,
bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre
Tes doigts qui me fouillent,
ta langue, tes mains qui me frôlent,
pincent, griffent, s’agrippent,
ta bouche qui m’embrasse,
me mord et toujours me fait gémir.
Il y a ton parfum sur ma peau
et le poids de ton désir dans mon ventre.
La nuit est mon histoire, ma délivrance.
Tu m’aimes.






Sa voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je l’aime.
Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants.
Il me prend sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.
Il glisse entre mes jambes une main chaude et froide.
Il dessine sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Il souffle des orages sur les méandres de mes veines,
Il fait porter ma voix plus loin que le ciel.
Il m’aime.
Il serre nos corps jusqu’à la douleur.
Il dessine dans le vide des arabesques d’or.
Le sol, le tapis, deviennent un champ immense
où sa voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Je l’aime.
Il me mord, entre en moi comme un loup à l'affut.
Il cambre mon corps à la fureur du sien
et nos deux voix s’épousent. Il me souffle des mots crus
et allume des incendies qu’il s’empresse d’éteindre.
Il attise la faim que mon ventre conçoit pour le sien.
Il remonte mes jambes et des feux d’artifices sillonnent notre ciel.
Il m’aime.
Il se glisse dans mon dos et prend mes seins en mains,
Il me parle des étoiles, de la magie du ciel.
Il s’appuie contre moi pour me faire sentir son desir,
Il se penche sur ma nuque et se glisse dans mon ventre.
Il me fouille de sa langue, il m’explore de ses doigts.
Il se glisse sur moi, je l’embrasse, le caresse.
Ses gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de ses yeux
quand il me desire.
Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent.
Il remonte ma robe, la remonte encore,
et se glisse dans mon ventre.
J’aime.
son sexe dans le mien, sa peau sur la mienne
jusqu’à ne plus savoir
où commence son corps et où finit le mien.
Je l’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle.
Il s’enfonce en moi et le monde disparaît,
bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre
ses doigts qui me fouillent,
sa langue, ses mains qui me frôlent,
pincent, griffent, s’agrippent,
sa bouche qui m’embrasse,
me mord et toujours me fait gémir.
Il y a son parfum sur ma peau
et le poids de son désir dans mon ventre.
La nuit est mon histoire, ma délivrance.
Il m’aime.