arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 06 juillet 2024 - 14h29rech / rep
----12-15-debsharonstone2

----12-15-debsharonstone2
(taille reelle)
()
Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes.
- Tu sens ? ...
Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour:
- allez ! Viens ! Je t'attends ! ... Ne sois pas timide
Je restais sans voix. Devais-je céder à tous ses caprices ? Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, son parfum de femme, entêtant. Son regard s'est planté dans mes yeux, puis sur mes lèvres. Ma respiration s'est précipitée.... Son souffle me troublait. Son corps tout entier semblait a l'affut. Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture,
- Sors moi ta fierté de mâle ! ... et met la moi ! ....
elle m'agrippa par les hanches, me guida, se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, absorbant mon sexe jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Et maintenant, Deploie tout ton talent ! et montre moi que tu es à la hauteur !
Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de baiser ma patronne, mon sexe était bel et bien en train de glisser profondement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Mon torse recevait ses seins lourds. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- Met le moi bien profond !
- et fais-le moi encore plus dur, encore plus gros, encore plus long ! ...
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approchai inexorablement du point de non retour. Je sentais mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! ... tu entends ? ... continue ! .... fais moi jouir !