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samedi 06 juillet 2024 - 15h26rech / rep
cpt-v-132

cpt-v-132
(taille reelle)
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Elle m’entraina alors dans la pièce voisine. Une fois isolés, a l'abri des regards, elle attira ma tête, glissa une main sur ma nuque et dans mes cheveux et, telle une ventouse, prit mes lèvres. Elle commença à m’embrasser sur la bouche, puis elle plongea sa langue à la recherche de la mienne. Si mes mains étaient avides de ses seins et de son ventre, les siennes n’étaient pas moins prestes à evaluer ma virilité. le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle me caressait la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre, melangeant nos salives ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Le frottement de la soie sur ses cuisses m'excitait ...
Je glissais ma main sous sa robe, je relevai ses dessous et atteignai ses tresors.... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Le temps s'arrêta ... jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle me fusilla du regard:
- Baise-moi ! ... Vite ! .... Ici !
A peine refugiés dans le salon voisin, elle m'entrtaina avec elle sur la moquette. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Ses gémissements augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Sans attendre et dans la fièvre je relèvais sa robe, tendis qu'elle liberait ma lance. Allongée sur la moquette, ses jambes enlaçant mes hanches, j'entrais doucement dans sa douce intimité, je la penetrai facilement, profondement, sans effort. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Elle se donnait peu à peu, et gémissait pendant que je la conduisais au plaisir. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait ... Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, Elle se retint .... un court instant ...
- Viens ! Vite !
Et elle se lacha ! juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. tandis que je l'inondais de ma sève. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ... Vous avez été merveilleux !
- Mais j'ai encore faim !