arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 06 juillet 2024 - 15h43rech / rep
adlt-03-beau soleil interieur-11

adlt-03-beau soleil interieur-11
(taille reelle)
()
Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, jeu subtil d'un regard insistant, elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard légerement mouillé. J'avoue qu'il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, je l'imaginais juste revêtue d'une fine lingerie, dans l’intimité d'une chambre d'hotel fébrilement réservée, ses cheveux étalés en désordre. En fait, je la désirais depuis longtemps sans pouvoir lui avouer.
- Installe toi bien dans le lit ! ... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus, mais c’est la sonorité suggestive de l’eau ruisselante sur sa peau dans la salle de bain qui entrouvrit un instant une brèche dans mes égarements. Elle était en train de se doucher. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous.
- Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps pour me des caresses de plus en plus intimes.
Avec une douceur presque féminine, elle defit un à un les boutons de ma chemise, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. Elle redécouvrait ces plaisirs sourds qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle redecouvrait les bienfaits des caresses amoureuses, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses dentelles intimes ...
Ses yeux, jusqu'içi plutôt discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle, si volubile apparement, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son corps. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle me débarrassa de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi, jusqu'à ce qu'elle me supplia
Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, et je la couvrai de baisers. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait et elle me le fit savoir sans detour,
- maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite !
Naturellement, je me positionnai sur elle et sans attendre, je penetrai son corps, doucement, profondement. Elle m'aspira en elle avec gourmandise. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplirSes jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort.