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samedi 06 juillet 2024 - 15h23rech / rep
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(taille reelle)
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Je venais de jouir en elle. Elle avait joui aussi, avec moi,
c'était une brûlure douce. Elle semblait sans force.
Elle venait de m'offrir son ventre, dans lequel je me suis répandu en une apothéose …
c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !

Je venais de jouir en elle. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur le parquet. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Elle semblait sans force, nos secretions abondantes coulaient toujours entre ses jambes, dans l'interstice de ses fesses. Elle venait de m'offrir son ventre, dans lequel je me suis répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
Elle était maintenant seule là contre la biblioteque du bureau, les cuisses ouvertes, béante. sa toison humide me donnait le frisson. Elle était toute oouverte, obscène presque. Elle relèva la tête, j'étais toujours là devant elle, je la fixai à nouveau avec un regard d'envie. Je me remis à bander, sans complexe. Je remis mon sexe qui durcissait dans le sien, le poussai un peu en elle, plus loin, puis, le ressortait, une nouvelle fois .. je m'enfoncai doucement, j'écartai ses chairs rosées, je le lui mis tout au fond et fit durer le plaisir. J'accélèrai. Elle n'en pouvait plus. Elle jouissait ! et moi aussi ! Je me vide, je n'en finis plus de me vider en elle ! Elle luit de mon jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Je prends de nouveau mon sexe et caresse sa fente avec mon gland. Elle soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétre de nouveau. Ses chairs laissent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Je recommence à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferme les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippe à ses hanches. Je ressens mon plaisir monter. Le sien aussi. Son vagin se contracte et des spasmes formidables soulevent son corps. Je continue mon va et vient, je rugis très fort et finis par gicler une nouvelle fois en elle.
Elle avait 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire l'amour comme des bêtes contre les etageres de cette bibliotèque. Lorsque je me suis retiré d'elle, sortant ma longue verge gluante de son fourreau trempé, elle revenait lentement à la réalité, et restait là, debout adossée aux étagères, devant moi, comme dans un rêve éveillé, s'affolant probablement de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. Nous réalisâmes alors ce que nous avions fait. Sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. Sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, le long de ses jambes. Elle était ouverte comme jamais, chancelante, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
Quelle femelle ! Quel femme ! comme je les aime ! J'ai adoré son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir quand je la remplissais de moi. Elle m'irradiait de sa chaleur. Je me suis vidé dans son ventre puis ma queue s'est glissée doucement hors de sa vulve, liberant un flot de semence. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits. Elle semblait épuisée. J’étais aussi épuisé qu'elle. Elle me regardait sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu rester planté en elle encore un moment, me sentir mee relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Nous nous rhabillâmes en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, elle se glissa hors de la piece.
J'ai repensé toute la nuit à nos caresses et mes succions sur ses seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos