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samedi 06 juillet 2024 - 15h57rech / rep
10-secr-10-secr

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(taille reelle)
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- Regarde moi ! ... Je veux que tu jouisses en moi ! maintenant ! tu m'entends?
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, elle resserra son vagin, et elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre.
- bien au fond de moi ! Remplis moi ! Decharge toute ta sève !
Je ne pus me retenir longtemps, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et j'explosai en elle, deversant mon foutre en une serie de giclées abondantes.
- A la bonne heure ! Continue !
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu nous avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je continuai à decharger copieusement, en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud.
- Encore !
Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut longue, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous venions de faire l'amour comme des bêtes. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles

Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai épuisée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les jambes. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle était tout aussi épuisée que moi. Elle caressa mes cheveux ... Sourires échangés.
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Elle resta là devant moi, siderée, Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis !
- Jerôme, je vous crois très doué ! Je n'en esperais pas tant !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- Vous êtes bon pour le service ! Je vous garde
- Je vous attends mercredi pour faire le point, d'accord ?

Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit