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samedi 06 juillet 2024 - 15h35rech / rep
03-beau soleil interieur-12a

03-beau soleil interieur-12a
(taille reelle)
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Je n'en pouvais plus ! Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. En quelques secondes, corps à corps, glissant nos peaux l'une contre l'autre, elle me poussait à bout
- Je suis toute ouverte ! ... rentre vite !
Et sans attendre, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Je tentai une demi-seconde de reprendre mes esprits, elle ne m'en laissa pas le temps,
- Trop tard ! ... Tu es chez moi maintenant ! me manifestant ainsi avec un large sourire sa satisfaction
- ne pense plus a personne d'autre ! ... Et laissons parler nos sens ... sans restrictions !
Je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple.
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ...
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
- tu as été merveilleux ! .... un amant de rêve !