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samedi 06 juillet 2024 - 15h45rech / rep
03--mag-julie-01

03--mag-julie-01
(taille reelle)
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- Ecoutez moi ! ... il se trouve que la jolie combinaison qui a l'air de vous interesser, je porte la même sur moi en ce moment ... je peux vous montrer si vous voulez ?
- vous allez me dire si elle vous convient ... si cela vous plait ?
- On se rend toujours mieux compte lorsqu’on la voit sur quelqu'un
Je me retrouve devant elle, degrafant lentement son corsage. Devant mes yeux effarés, elle dévoile entierement sous sa robe une fine combinaison blanche et, dessous, le soutien gorge qu’elle tenait dans la main quelques minutes auparavant. Je suis littéralement cloué sur place. Outre cet écrin de lingerie, elle m’offre la vision de deux jolies pommes rondes et sucrées qui appellent la gourmandise. Ses épaules et son ventre sont divins, un pendentif vient s’évanouir entre ses seins. Elle s’approche de moi avec un sourire qui en dit long et commence à me détailler les éléments de sa toilette. Elle se tourne un peu sur le côté, se cambre puis se retourne complètement, se penche un peu en avant. Devant le miroir, la dentelle soyeuse danse sur elle au moindre de ses mouvements. Elle se positionne devant la lumiere pour que j'en apprecie la douceur et la transparence. Son regard croise le mien qui enveloppe son corps de douces pensées. Comme pour mieux se faire apprécier, elle écarte légèrement les jambes. Le jeu de lumière qui traverse le fin nylon rajoute à la sensualité du moment. Elle se retourne pour faire maintenant face au miroir. Toujours jambes légèrement écartées, la vision est des plus chaudes. Je suis hypnotisé par la fragilité de la scène. L’odeur de son parfum est presque oppressante et le spectacle de sa poitrine soulevant le voile avec régularité, m’hypnotise.
- Elle est tres douce et fluide ... vous aimez ? ...
- Vous voulez toucher ? ... Allez-y, sentez comme c'est doux ... elle aimera j'en suis sure !
Mes bras effleurent la soie, juste devant ses seins, mes mains miment de vraies caresses avant de descendre le long de ses hanches lentement, puis sur son ventre et enfin entre ses cuisses, rien que des sensations tactiles. Puis, je remonte tout aussi lentement. Elle n’a pas bougé. Son regard suit mes mains dessinant sur ses courbes. Arrivées une nouvelle fois à hauteur de ses seins, mes mains s'arrêtent un moment en attente d'une approbation
- allez-y ! ... prenez les ! ... faites comme si c'était elle !
Mes mains s’appuient sur le fin voile avant de recevoir le courant de sa chaleur. Je sens alors dans mes paumes toute la fermeté de ses seins dressés. La soie du tissu est une caresse en elle même. Les seins de cette femme me troublent de leur douceur. Elle enflamme mon corps. En parcourant ses epaules de mes mains, les bretelles tombent nonchalamment, et la combinaison finit par glisser dans un doux bruissement le long de son corps qui se dénude en partie, elle les remet en place sans vraiment se presser. Je sens une coulée de lave m’envahir les reins. Je respire l’odeur douce de son corps tiède. Son regard plonge dans le mien.
- Vous aimez le contact de ce tissu n'est-ce pas ? Cela vous fait du bien ! avouez ? ...
Je poursuis mes caresses sur, puis sous le tissu, elle laisse échapper un faible murmure inintelligible que je m’empresse d’interpréter comme un encouragement. Elle est maintenant là, tres proche devant moi, elle me regarde avec ses yeux mouillés. Elle est plus désirable que jamais, jambes ouvertes, quasiment offerte.
Elle ne semble pas insensible a ma présence et même au contact de mon corps quand je me retrouve proche, tres proche d'elle. Elle me voit regarder son decolleté, ses seins pointent à travers le tissu. Le contact sur le nylon de sa robe m'excite doucement le bas du ventre. Je la vois rougir. Cette femme est vraiment troublante. Mais j'évite de trop manifester ce que je ressens. Elle est tres proche de moi, trop proche. Je me laisse maintenant aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec elle, et je commençe malgré moi à me frotter contre elle. Elle est face a moi, jambes legerement écartées, indecente presque, quasiment offerte.
- Vous avez du mal à cacher vos emotions je vois ! me souffle-t'elle
- vous voulez continuer à apprecier cette lingerie fine sur moi ? ..... allez-y !