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samedi 06 juillet 2024 - 16h08rech / rep
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(taille reelle)
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Elle me scrutait d'un regard mouillé alors que je la pénétrai doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Elle soupirait, tout en me fixant les yeux grand ouverts. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur, j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Je sentais les pulsations dans mon corps. Elle inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. Elle se souciait de mon état
Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre,
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant. Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime de satisfaction. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait sur moi, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient. Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps...
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir, Je n’en pouvais plus... j'expolosai en elle jouissant à me faire perdre la tête dans ce corps de rêve, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.