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jeudi 04 juillet 2024 - 01h10rech / rep
adct-13-xdebmariabellonudecelebs110269@x

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(taille reelle)
dans l'allée forestiere ()
- Je veux absolument sentir les effets de ta queue au plus profond de moi au moment de dire "Oui" :
- tu es et tu resteras toujours mon complice sensuel, l'amant qui sait me guider vers l'extase !

Je sens alors les doigts de Camille serrer fort ma main tandis qu’une petite moue aussi espiègle que fugitive apparaît sur son visage. Le parc est grand et majestueux. Grâce à l'approche du crépuscule, nous avons vite fait de disparaître dans une allée forestière avant de nous aventurer dans un sentier sinueux.
- Mais, où m'emmènes-tu Jean ? Je ne suis ni chaussée, ni vêtue pour une promenade en forêt !
- Ne t'inquiète pas : nous sommes arrivés.
À quelques dizaines de mètres de nous, aux trois quarts caché par la végétation, apparaît un ancien kiosque à musique ceinturé d'un garde-au-corps artistiquement forgé. Comme des enfants découvrant une cabane magique, nous montons rapidement les marches.
- Ma belle amie, ferme les yeux et laisse-toi porter par la magie des airs champêtres qui ont du être joués en ce lieu enchanteur par des musiciens en longues perruques frisées!
Je relève très progressivement sa robe. Je caresse doucement ses fines chevilles et les embrasse à travers ses bas si doux. Mes mains, puis mes lèvres s’emparent progressivement de ses mollets. Les gémissements qui montent de sa bouche me réjouissent et m’encouragent à poursuivre ma progression jusqu’à ses genoux. Je me fais violence pour ne pas accélérer le rythme. Lorsque j’arrive aux cuisses, Camille les écarte d’elle-même de plus en plus. À la lisière de ses bas, mes mains remontent entièrement sa robe sur ses hanches. Ma langue embrasse sa peau nue. La lèche longuement, avec une lenteur délibérée accentuant les gémissements de la belle mariée. L’odeur de son désir chatouille mon odorat. Je glisse alors son string sur le côté comme elle l’a fait quelques heures auparavant. Puis, écartant ses fesses de mes mains, ma langue trouve rapidement son chemin entre ces deux collines. Elle irrigue et lubrifie longuement le doux vallon. La sentant prête, incapable de retenir plus longtemps son impatience, mes doigts prennent alors doucement le relais, vérifient la souplesse de l'anneau magique. À plusieurs reprises, mon majeur s’aventure entre les lèvres de son sexe pour recueillir un peu de la douce et odorante liqueur produite par son désir et retourne en tapisser l’entrée de la grotte défendue, sentant le muscle délicieusement palpiter autour de lui. Patiemment, je le fais aller et venir, tourner doucement, pour élargir peu à peu à le passage, jusqu’à ce qu’il puisse accueillir un deuxième, puis un troisième doigt.
Je les retire alors pour y glisser mon membre vigoureux, tendu comme rarement par tous ces préparatifs. Contrastant avec la fougue du début d'après-midi, je le fais coulisser longuement avec douceur dans cet orifice, devenu étonnement accueillant. Ses murmures, ses gémissements, ses exclamations étouffées, me font comprendre que, en raison des tabous mis sciemment à mal, notre connivence, notre complicité, notre harmonie atteignent des sommets inégalés. Ces instants hors du temps scellent à jamais notre alliance sensuelle, autrement plus solide que les consentements reçus par le maire. Ce pacte secret donne à nos vies une plénitude que peu ont et auront la chance de connaître.
Ramené au présent par l’orchestre appelant les convives à rejoindre les salons de réception, j’encourage Camille à jouer de sa main sur son bouton d'amour. Dans un même élan, nos corps, nos voix, nos cœurs se mettent alors à l’unisson pour clamer notre bonheur dans une jouissance simultanée. En remettant avec délicatesse et tendresse son string en place, je prodigue ces derniers conseils à la jeune mariée :
- Avant ta nuit nuptiale, enlève ce bout de tissu superflu imprégné de mon sperme !