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jeudi 04 juillet 2024 - 00h52rech / rep
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(taille reelle)
Julie, l'amie de Lea, fleur de lotus ()
Ce mercredi d'août à 22 heures, Lea avait pris sa garde aux urgences et ne serait de retour que le lendemain matin. À 22 h30, on sonna à l'interphone:
- Bonjour Alex, c'est Julie, l'amie de Lea. Lea est là ?
- Non, Lea est de garde cette nuit. Mais tu peux monter. Viens, je t'ouvre.
Julie était une belle blonde, souriante, une quarantenaire épanouie. Deux de ses petits détails physiques me rendaient faible. Le premier était sa peau, une véritable peau à parfum qui fixe à peu n'importe quelle fragrance tout en la sublimant avec l'odeur naturelle de sa propre peau, une femme admirable de beauté. Elle arriva au 5ème, sortit de l'ascenseur et s'exclama sur le pas de la porte :
- Il fait chaud, c'est une horreur !! Je t'embrasse mais, je te préviens, je colle de partout ...
- Entre ! Si tu veux, la salle de bain est à toi. Il y a des serviettes propres dans le placard. Fais comme chez toi.
Julie se laissa tenter par la douche et revint au salon après le quart d'heure, vetue seulement de sa combinaison blanche dont les dentelles ne cachait que tres peu ses genereuses poitrines.
Elle se mit à l'aise sur le canapé d'angle et je m'assis en face d'elle pour l'écouter me raconter sa journée de travail : En même temps qu'elle me parlait, elle n'avait de cesse de croiser et de décroiser les jambes. Tous les deux ou trois mouvements de ciseaux, elle réajustait soigneusement le nylon de ses dessous dégageant négligemment ses cuisses. Je lui offrais un petit verre de rosé frais. Avec le concours marginal de ce petit vin, rafraîchissant à souhait, Julie saisit les olives directement entre l'index et le pouce, je me délectais de la regarder arrondir ses lèvres pour porter à la bouche chaque olive avec une sensualité gourmande. D'ailleurs, elle ne se contentait plus de les gober, je devinais qu'elle les suçait chacune quelques secondes avant de les cranter d'un coup de dent.
Julie écartait machinalement les jambes, histoire de s'aérer un peu plus. Elle perçut alors rapidement le trouble que déclenchait chez moi cette position et me tança ironiquement :
- ça va ? Alex ?
Elle m'offrait un angle de vue des plus excitants sur son corps, je me trouvais dans la situation d'un insecte paralysé par le venin de son prédateur, les mots ne me sortaient plus de la bouche et la sueur me venait au front. Dans une divine proportion se mélangeaient l'odeur sucrée de sa peau, son eau de parfum et une douce effluve enivrante chargée de phéromones ... Par le hasard des courants d'air, le ventilateur faisait office de seringue et m'administrait cette drogue à hauteur de narines.
- Ne reste pas comme ça devant moi, je suis en pleine ovulation et tu m'excites ! me lâcha Julie.
Je restais encore sous le coup de son envoûtement, incapable d'articuler la plus simple des phrases.
- Tu n'imagines pas comme je suis mouillée ...
- Et en plus, je vois que je ne te laisse pas de marbre ... N'est-ce-pas ? ».
Toujours assise en face de moi, Julie avança son bassin jusqu'au bord du coussin. Puis elle pris mon visage entre ses mains, aligna mon regard sur le sien et se fendit de ses doléances le plus sérieusement du monde:
- Alex ! ... J'ai envie que tu me fasses des douceurs. Il paraît que tu fais ça comme un dieu !
Dans le creux de mon oreille, elle lâcha quelques mots sans ambiguïté que la pudeur lui défendait sans doute de prononcer à haute voix. Elle souriat de me sentir honteux. Honteux d'une excitation qui devenait douloureuse. Elle ne cessait de me dévisager tout en se tripotant les seins. Cela semblait l'exciter. Elle s'approcha de moi. me posa d'entrée un baiser appuyé sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, je la regardais avec des yeux luisants. Elle ne portait rien sous ses dessous de nylon, et elle s'amusait à sentir mon regard que j'essayais de faire discret sur ses seins. Elle me prit la main et la posa sur son sein. Je la caressai à travers la soie.
- c'est doux ! ... tu ne trouves pas ?
- Attends ! Je m'aère un peu, tu permets ?
Elle défit un premier bouton.
- Tu veux continuer ? me demanda-t'elle
Je m'appliquai à poursuivre le travail, degageant ses belles poitrines, lourdes et fermes à la fois, il faisait chaud. Elle me caressa le torse, puis, plus bas, mon entrejambe de plus en plus volumineux. Elle me glissa à l'oreille:
- Dis moi, tu ne vas pas me laisser comme ça !
- Mets ta main là ... oui..... A la bonne heure !
Sa robe de soie épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Mes doigts glisserent sur le satin avec de longs va et vient puis je descendis ma main plus bas.
- Là sous ma robe, Oui !, … Vas-y, doucement.
Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Elle commençait à soupirer. Ses caresses devenaient insistantes. Je glissai mes doigts sous la soie, j'écartai le satin dévoilant sa vulve trempée. et je commençai à la masturber doucement, profondément. Elle gémissait de manière délicieusement érotique.
- Tu sais faire ! m'avoua-t'elle en me glissant un baiser sur les lèvres
- Continue, c’est très agréable. Tu es très doux !
J'alternais caresses profondes et sensuelles.
- Attends, ma culotte te gêne. tire-la vers le bas, je veux mieux sentir tes doigts.
C'est alors qu'elle eut son premier orgasme, ses premiers frissons. Elle me prit alors la main pour que je continue à la masturber Puis, elle me regarda avec insistance:
- je crois que tu es mur ! Et moi, je suis toute ouverte !
- Je veux absolument sentir les effets de ta queue au plus profond de moi lorsque tu te laches :
Puis elle me guida au sol sur le tapis et vint contre moi, dans la position du lotus, ses jambes croisées dans mon dos et les miennes dans le sien. De ses grandes lèvres, elle enserra mon gland écarlate puis, avec la précision du chirurgien, aspira mon sexe dans son vagin, exacerbant la sensation des afflux sanguins qui irriguaient ma verge. Ma pénétration fut absolument divine ! Elle m'encouragea avec passion
- Met le moi bien profond ! Que je te sente bien ! ... Oui ! C'est bon ! Je te sens fort, puissant, fougueux.
- Donne moi tes lèvres, vite ! Et prend mes seins!
- Laisse toi aller, je suis à toi ! ... Baise-moi fort ! ...
Puis elle alla et vint d'avant en arrière avec une précision quasi millimétrique. À mon tour, je sentais se former en elle les contractions circulaires qui annoncent l'orgasme,
- Encore ... Plus vite ! .... Maintenant ! ...
elle y mit les mots qui allaient m'achever
- Tu aimes ? Tu aimes quand je te suce avec mes muqueuses gourmandes ?
Il ne m'en fallut pas plus. De ces quelques mots, Julie m'arracha un bruyant râle de jouissance. Je n'y tins plus et je me deversai abondement au fin fond de son ventre
- Oui! Vas-y ! .... OUIII ! .... Oh que c'est bon !
- tu es mon complice sensuel, l'amant que je cherchai et qui sait me guider vers l'extase !
Elle se rhabilla rapidement et pris congé après m'avoir filé un patin gourmand