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jeudi 04 juillet 2024 - 00h58rech / rep
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(taille reelle)
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Elle est maintenant contre moi, adossée au mur du bureau, ...

Elle est maintenant contre moi, adossée au mur du bureau, jambes écartées, robe déjà défaite, je glisse ma main dessous au contact du nylon, m'immisce sous ses fins dessous, remonte vers le haut caressant ses flancs. L’ouverture sur le côté révèle le soutien-gorge. Je passe sa main dedans, me saisis d'un sein jouant avec le tissu qui les recouvre. Je cherche à enlever son soutien-gorge pour mieux profiter de ces deux pommes de chairs. Tandis que je glisse mes doigts entre ses lèvres intimes, déjà toutes ouvertes, elle déboutonne machinalement mon pantalon, extirpe ma verge qui se deploie d'un coup, ne realisant pas vraiment ce qu'elle était en train de faire ...
Je poursuis mes caresses et petites incursions intimes. Elle garde toujours, ma queue en main, et flatte mon gland que je sens déjà perler, Elle est en confiance, un doux parfum de jeunesse. elle a maintenant besoin de sentir ma queue entre ses jambes, elle en mouille d’envie. Offerte, cuisses écartées, sa chatte est comme son ventre, en feu. Sans realiser ce qu'elle fait, elle le dirige vers ses deux grandes lèvres trempées
Je trouve enfin ma voie, et m'enfonce petit à petit dans ses chairs, la sensation d’être remplie lui embrume l’esprit. Elle mouille abondamment. Et je me sens glisser tres facilement en elle d’avant en arrière. Elle lâche un « oui » entre deux forts gémissements.

Puis elle incline son bassin pour mieux me laisser entrer en elle. Elle écarte doucement les jambes, je la pénétre doucement, progressivement, profondement. J'entre dans sa douce humidité, comme une humide et molle profondeur, douce et tendre, où je me glisse et me perds, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur..Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Elle soupire les yeux fermés. Ses chairs s'ouvrent un peu plus et son corps peu à peu s'offre à moi, telle une fleur. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent, et plus je penetre en elle, plus il est long et profond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger, elle a les yeux fermés, Elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres. Je glisse delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre.
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Enfoncé au fond d'elle, je remue pour bien la sentir tout en la fixant.
- Vous êtes prête à aller jusqu'au bout avec moi ?
- Je suis toute ouverte, vous le sentez bien !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps...
- Oh Venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! bien au fond, je suis prête !
- Remplissez-moi !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Attention ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce.
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.




- Louis, je suis en train de ceder à vos avances ! Ce n'est pas bien ! Vous êtes si doux !
- Marthe ! ... Je crois que je viens ! ... Aaahhh ! ... Oh Marthe ! ... C'est si bon !
- Louis ! Qu'avons nous fait ? Vous m'aviez dit que vous vous retirereriez .....vous me l'aviez promis !
- Marthe, je suis désolé, vous etiez si désirable, si excitante ...
- Louis ! Je suis trempée ? Ca coule entre mes jambes
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore…
- Marthe, c'était si bon ! Nous ne pouvons pas en rester là !
- Rhabillons nous vite ! ... et appelez moi demain !