arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 04 juillet 2024 - 00h51rech / rep
174 sharon-stoneinct-orig-1

174 sharon-stoneinct-orig-1
(taille reelle)
audition torride ()
Ses jambes sont nues, sous sa mini-jupe blanche, elle les allonge, les détend… Elles sont si longues… Encore si blanches, elle les offre avidement à la douce caresse du regard. Doucement, sensuellement, je la vois se pencher et, d’un geste délicieux, libérer ses chaussures qui s'évadent aussitot loin devant elle
Une jambe se pose sur son genou et croise l'autre. Sa courbe voluptueuse se délie devant moi avec jubilation. Mon regard glisse sur elle, remonte sur son mollet, plein, élancé, à la courbure admirablement dessinée. Elle est grande, athlétique. J’atteins bientôt des yeux son genou, exquise rondeur appelant la caresse. Mais vite, gourmand, c’est sur sa cuisse que mon regard glisse…
Quelques mètres seulement nous séparent. Je la suppose d’un âge proche de la quarantaine. Elle est belle. Blonde, coupe au carré, yeux bleus. Habillée avec soin. Aujourd’hui, sans doute, plus légèrement que d’habitude.

Elle m'a remarqué. Son regard, amusé, s’élève subrepticement, régulièrement. Elle sourit gentiment. Lentement, je la vois pivoter, légèrement, de biais sur son banc, sa cuisse s’expose pleinement à mon regard indiscret. Je la fixe et elle le voit. Elle a chaud, moi aussi. Sa courte et légère robe, discretement relevée, dévoile au fond une fine culotte de soie ornée de fines dentelles.
Galbe. Puissance et légèreté. Rondeur. Sa jambe m’hypnotise, elle le sent et elle en joue. Elle agite gentiment la pointe de son pied, elle l’étend, affine son mollet, croise encore davantage sa jambe sur l’autre cuisse, s’incline encore un peu, faisant coulisser doucement sa jupe contre le banc. Sa jambe maintenant est presque entièrement nue. Mes yeux sont prisonniers de l’arrondi de cette blanche cuisse, muscles visibles, puissante, somptueusement galbée… Sa peau de lait retrouve la lumière.

Yeux fermés, mes mains s’y perdent déjà. Elles caressent sans fin, de son peton pointé au rebord de sa jupe. Je me réveille : mais non, ce sont les siennes ! Coquines, ses menottes aux longs doigts fins parcourent lentement toute cette courbe parfaite. Elles vont et viennent. S’attardent sur son mollet. Massent son joli pied. Caresses affolantes, de plus en plus indécentes… Elle est si belle et elle le sait. Tout dans cette pièce converge vers sa lumière. Le soleil l’a choisie.

A présent, elle se tourne, décroise et recroise ses divines aiguilles. C’est son autre jambe qui se pose sur sa cuisse et s’expose à mes yeux pareillement captivés. Elle sourit plus franchement. Elle joue à cache-cache. Elle ne pense pas à mal, voyons ! Et maintenant, me faisant pleinement face, ses deux jambes allongées, cuisses à peine entrouvertes, comment penserait-t'elle à ce triangle rose sombre à peine entraperçu sous cette jupe indécente qui ne cesse de monter ?
Elle exulte. Je le vois. Je le sens. Son triomphe est total. Elle me regarde de plus en plus longuement et je ne lui cache pas ma folle admiration. Elle sourit. Moi aussi. Elle rit. Ses lèvres rouge vif, si justement charnues, explosent dans la lumière. Sa blondeur rayonne. Ses épaules pleines, ses longs bras nus, ses seins ronds que je devine tendus derrière ces cotons blancs, son ventre à peine bombé, ses hanches épanouies… Dans l’éclatante clarté elle expose à tout va la glorieuse plénitude de ses quarante ans.

C’est fini. Elle se lève, ramasse sa veste et l’enfile à nouveau, réajuste sa jupe. Elle sera irréprochable, pour les réunions de l'après-midi. En partant, elle passe devant moi. Si près. Elle tourne lentement la tête. Je vis au ralenti. Mon souffle s’est coupé. Je la regarde, nos yeux se croisent. Elle me sourit. Ai-je bien entendu, ce mot, « merci » ?