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jeudi 04 juillet 2024 - 01h04rech / rep
12-andrallongdebcptr-g-32@ nat-03-deb1

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(taille reelle)
douce nature ()
Assise sur mon ventre, la poitrine en avant, elle contemple sa prise, elle savoure son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles devant mon nez, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéanti, son corps est contre le mien, sa chaleur irradie. Sa grâce est élastique, élégance naturelle, trouble. Elle est éblouissante. Une jupe légère qui la couvre à mi-cuisses, un corsage leger moule des seins adorables qui pointent, provocants. Sa voix est douce, suave, souple comme une liane. Je la regarde, je la détaille, je me remplis les yeux. Son corps, ses mouvements, ses expressions, tout en elle est emprunt d’une sensualité indéfinissable, envoûtante. Elle s'empare de ma tête, me touche. Frisson. Flash. Nos yeux se ferment. sa chaleur, son parfum, son visage me grisent, chaque souffle anime sa poitrine. Une respiration lente, calme. Les pointes de ses seins se dressent sur des mamelons crispés par la fraicheur. Elle me pétrit la nuque, ses mains me caressent. De longs frissons voluptueux me parcourent l’échine. Elle joue avec mes lèvres, fouille ma bouche, me baise les yeux, mordille mes oreilles, un tourbillon sauvage me déborde de toute part. Je bande entre ses cuisses, à pouvoir pénétrer un mur. Elle le voit, elle le sent, elle me met à nu, nous sommes murs.
En appui sur ses bras, elle leve son bassin, se positionne au dessus de moi. Elle me fixe, intensemment, puis me guide vers ses moiteurs intimes. Elle s'empale, petit à petit. Chaude humidité. Sensation divine. Lentement, elle m'aspire, me digère. C’est un ciel sans fin dans lequel je me noie. Mes mains sur ses reins suivent son mouvement. Elle bouge lentement, se délectant de la caresse qu’elle se procure. Sa bouche s’est ouverte, je respire son haleine parfumée. Elle se recule... se redresse, me prend de nouveau à l’orée de son ouverture. Les yeux fermés, attentive, lentement elle se plante, m’enfonce en son sein. Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. sensation délicieuse, presque douloureuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite.Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, elle se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber.
Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir de moi. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur le guide, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Sous mes doigts tous ses muscles entrent en mouvement, marée vivante qui se contracte et se relâche, chair ferme et souple. Elle a fermé les yeux, ses narines palpitent, le rose qui lui vient aux joues témoigne du plaisir qui monte en elle. elle aussi se tend, se crispe sous l’effet du plaisir, Elle jouit de mon corps... de mon sexe. Elle va jouir de moi, sur moi et moi en elle. bonheur de la voir perdre pied. Elle remue, imperceptiblement, appliquée à prolonger sa jouissance. Elle ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle se redresse, tête en arrière, seins pointés vers le ciel, secoue sa crinière, cambrée, me possédant, inflexible en elle, elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde...
------------------------------------------------- (Elle) ---------------------
Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, nous nous étions allongé dans l'herbe fraiche, moi sur lui à califourchon, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts qui désignaient l'horizon. Je l'ai interrompu en plaquant mes lèvres sur les siennes, ma langue chaude s'est enfouie dans sa bouche, un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... J'ai relevé ma robe et je me suis empalée sur lui, me laissant pénétrer avec délice. Il bougait en moi, ses mains sur mes seins chauds, j'ai mordu son cou et ma salive s'est glissée sur sa peau. A l’abri des buttes et des taillis, nos corps se mêlerent. Je m'empalais sur lui, doucement, interminablement, je ralentissais ma descente, la reprenais. Cette lente pénétration affolait nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait.
Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais, me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Mes moiteurs intimes enveloppaient son sexe. J'enrobais son mat de mon ventre brûlant. Je me soulèvais un peu et coulissais à nouveau, les yeux à moitié fermés, Je m'agitais, m'empalais un peu plus, sur son sexe qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Je me frottais, me soulèvais, redescendais, ondulais, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi.
Une ultime envolée, nous touchions aux nuages, j'avalais ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. Je m’effondrais sur lui en le couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être.