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jeudi 04 juillet 2024 - 00h59rech / rep
11-beau soleil interieur-11a

11-beau soleil interieur-11a
(taille reelle)
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- tu penses que c'est fou ce que nous sommes en train de faire ?
- c'est vrai ? tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
- Je suis toute ouverte ! ... tu sens ? .... Rentre vite ! ...
Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Tout doucement, je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Un frottement delicat, irisé de plaisir. Je me sentais aspiré, enveloppé en elle, comme dans un bain mielleux. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir. Elle se frottait, se soulevait, redescendait, ondulait. Avec application, elle me suçait, m'aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait. Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre.
- Je sens que je viens, tu ne veux pas que je me retire ?
- non reste ! .... bien au fond ! ... j'ai pris mes precautions ! ....
Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant. Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux, m'intimant l'orde de reester au fond d'elle.
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir. se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme.
- Maintenant viens ! s'il te plait ! .... viens vite ! ....
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
- Merci ! .... mon bel amant ! .... je garde en moi un souvenir de toi !
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Vous sentez mes petites contractions ? Vous aimez ?
- Je vous sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle s’empala tout au fond. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixa avec des yeux humides
- C'est si bon ! Continuez !
- Mettez la moi bien profonde ! ... J'aime vous sentir bander dans mon ventre !
- J'aime vous sentir glisser profondement en moi !
- Je vous sens bien gros, bien dur ... et bien long ! ... J'aime !
Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Vous me remuez les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne vous retirez pas ! ... Ne vous inquietez pas. J'ai pris mes precautions !
- Vous allez jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Venez ! ... Venez vite ! Inondez moi ! Remplissez-moi de vous ! Donnez moi votre sève ! toute votre sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.