arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 04 juillet 2024 - 00h49rech / rep
08-lotusserv-cptr-a2-44a@

08-lotusserv-cptr-a2-44a@
(taille reelle)
Angela ()
Nous etions desormais entierement nus l'un contre l'autre, nos peaux glissant l'une sur l'autre. Ses seins s'épanouissaient mollement contre mon torse. Elle écartait doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, profondement, par incursions successives. Elle m'accueillait en elle de maniere suave, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrai doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre. Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant cherchant son accord pour poursuivre...
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps... Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser. Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir. Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.