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jeudi 04 juillet 2024 - 00h48rech / rep
03-Marthe@

03-Marthe@
(taille reelle)
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- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas ...

Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse Puis, apres un temps de reflexion, Elle posa ses lèvres sur les miennes, Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.




Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, ce n’est pas parce que je ne t’aime pas ! .... bien au contraire ...
- ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir l'embrasser à corps perdu. Je n’osais pas le lui demander. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse
- Tu es triste ? .... Il ne faut pas !
Puis, apres un temps de reflexion,
- Approche toi !
Elle posa ses lèvres sur les miennes,
- Tu es satisfait ?
Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. Je me mis à la caresser, partout sue lr corps, palpant doucement ses seins à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
- Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ...
puis, sans attendre, nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que j'intensifie mes caresses, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Continue ! ... Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça !
Elle avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité à venir la rejoindre
- Viens ! .... Je suis prête !
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de ses muscles intimes sur ma fierté bandée. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues dans son corps, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je glissai profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, laisse toi aller, bien au fond de moi, aime moi et donne moi tout de toi !
- tu sais, à mon age, je ne risque plus grand chose ! ....
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant ma douce maîtresse à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.