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jeudi 04 juillet 2024 - 00h50rech / rep
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la chair éprise de la chair (00000000)

Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps.

Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre.

Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était déjà la chaleur de l'été et nos chairs se laissaient irradier de joies intimes. Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangeaient. Je m'enfoncais en elle. Frémissements, ses yeux étaient fermés. Elle me sentait, s'abandonnait, liquide, légère, je voyageais en elle. Je m'enfonçais dans son ventre, profondément, je goutais ses succions. Elle baignait dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendaient. Je me raidissais, je me retenais‚ et d'un souffle, je vidais une première fois ma joie en elle. Je me penchais contre elle. lui donnais un baiser, lui souriait. Nous retrouvions nos forces

J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser de nouveau dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, fasciné par ses gros seins tremblent et s'écrasant sur mon torse, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle. Agitant vivement ses hanches, elle se faisait joyeusement coulisser sur moi et moi, je goutai les moiteurs chaudes de ce cocon de chair m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extreme à sentir ses chairs brulantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu, l'engloutissant de nouveau d'un coup sur toute sa longueur ! Cette pénétration massive et rapide lui coupait le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir encore plus, et j'essayais d'en faire autant. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
- Plus vite ! grogna-t'elle‚ bien au fond !
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brulantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.

Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer. Elle m'aspira fort. Sous ses baisers brulants je me sentais défaillir contre son corps agité de plusieurs spasmes violents. Et dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante, je laissai jaillir dans son ventre une chaude liqueur, fruit de mon orgasme. Une éjaculation puissante, irréistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du ventre de Lea.

Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti.

Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboités l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea se separa de mon corps devenu trop lourd, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
- Tu m'en as mis des litres, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement‚ J'en ai de partout !
- C'était bon ? Interrogea-t-elle tendrement. Tu as aimé ?
- J'ai adoré ! On va remettre √ßa !