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jeudi 04 juillet 2024 - 01h15rech / rep
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(taille reelle)
jouissance ()

Elle glisse sur mon mat en se faisant plaisir,
un glissement onctueux, une plongée lente,
un frottement délicat irisé de plaisir ...

Nos vêtements eparpillés dans la pièce, nous sommes nus l'un sur l'autre, fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre. Ses jambes enlaçant mes hanches, elle me chevauche en me fusillant d'un regard humide. Je me sens iaspiré dans son ventre chaud, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité douce, je glisse avec delice dans sa douce moiteur. Elle me regarde avec des yeux troubles. Elle s'empale, et glisse lentement sur mon sexe l'enfouissant profondement dans ses tendres muqueuses. Elle glisse sur mon mat en se faisant plaisir, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir, elle m'aspire en elle avec gourmandise, ses chairs se distendent. Elle soupire en jouant du mouvement de balancier de ses deux belles poitrines sous mes yeux, elle me mange du regard tandis que ma verge se love dans son nid humide et chaud.
- Tu sens ? ... comme je suis bien ouverte, et bien chaude pour toi !
- C'est agreable ? ... tu es chez moi maintenant ! Tu es mon prisonnier !
- Tu m'habites ! ... Je ressussite !
Mes mains palpent ses cuisses, ses hanches, ses seins, griffant ses bas qui crissent sous mes caresses. Elle commence à monter et descendre le long de ma hampe. Tout en me fixant avec des yeux humides, elle s'empalle doucement sur mon mat.
- Laisse toi faire ... C'est si bon ... Tu es bien ? ....
- Donne moi tes lèvres !
Elle m'offre sa bouche. Nos langues s'enroulent, nos salives se melangent, nos corps s'agitent, et, plus bas, tel un poulpe, elle aspire mon sexe, elle m'absorbe, elle m'avale. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. je m'enfonce loin en elle, et remplis son vagin, je m'y complaîs comme dans une bain mielleux. Je la tiens par les hanches et je l’accompagne. elle mouille sous mes coups. Gémissements contenus. Ses lèvres cherchent les miennes, elle attrape ma bouche. Elle me sent la fouiller, la remplir. La sensation est puissante, suave, elle se propage, s’éteint, renait, nous sommes emboités l'un dans l'autre. Elle en veut plus
- fais le moi bien gros et bien long ...
Elle s’empale tout au fond, effectue des mouvement de bassin pour bien m'encrer en elle. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger, son odeur est sur mes lèvres, une odeur animale, ensorcelante. Ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux.

Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs. Elle m'aspire, me tire, me pousse en jouant de son corps.
- Et comme ça, tu aimes ?
Elle souleve son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, elle se donne du plaisir. je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se frottent l'un contre l'autre. J'entends les bruits mouillés causés par les mouvements de son corps sur mon sexe bandé. Elle ondule du bassin, monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je glisse dans du beurre, je suis au paradis, je sens les legeres contractions de ses lèvres intimes sur les parois de ma verge prete à exploser. je sens ma verge se contracter,
- Non, pas encore ! ... je te veux encore plus gros !
je pousse mon bassin en avant. Elle continue à se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi exacerbe ma vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre,
- Attends ! ... je veux que nous jouissions ensemble !
Empalée à fond elle remue pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants. Sa frénésie redouble. Elle s’enroule, se défais, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle est en sueur, elle veux jouir, vite. Elle joue des contractions de son vagin sur mon gland qui la fouille. Elle se déchaîne soudain, ses seins ballottent de droite à gauche, puis, elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Elle me fusille du regard
- Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte en moi, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent, se contracte et .... je me lache ! je laillis ! je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Je jouis à n'en plus finir au fond de son ventre. Le doux clapotis de nos sexes emboités amplifie ma puissante éjaculation. Ses sécrétions sont abondantes. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont humides de plaisir. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres,
- Suçe les ! Ils ont besoin de tes lèvres ... palpe-les bien ... ils aiment tes mains chaudes !
Et Je jouis une deuxième fois, et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle digere mon gland qui trempe dans mon sperme.
- Tu as été magnifique !
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournons à la réalité.






Je le fixe des yeux et doucement, je m'empale sur lui, je l'absorbe, il s'enfonce en moi, et remplit mon vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Je suçe sa verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Je m’empale tout au fond. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger, son odeur est sur mes lèvres, une odeur animale. Mes deux seins se balançant de manière provocante au dessus de ses yeux. Je sens sur ma vulve ouverte et trempée, son sexe qui se tend. J'offre ma vulve à son dard. Je me frotte, me soulève, redescend, ondule. J'excite son sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans mes chairs. Je l'aspire, le tire, le pousse en jouant de mon corps. Mes beaux seins ballottent au contact de ses lèvres, nos langues s'enroulent. Ma frénésie redouble. Je suis en sueur, je veux jouir, vite. Je joue des contractions de mon vagin sur son gland qui me fouille. Je viens de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes. Je m’enroule, me défais, plonge, me retire. Je le serre et le dévore, littéralement. Il râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Je me penche vers lui. Ses yeux sont humides de plaisir. Je me raidis soudain et, dans un long spasme, je me laisse aller à l'orgasme. Mon corps convulsé déclenche son propre orgasme: Il s’enfonce en moi, loin, très loin. Un trait monte en lui, puissant et massif. Un frisson. Je le sens. Le trait lui échappe ... il se libère en moi, sans retenue. Il gicle par spasmes riches et généreux. Je suce et aspire sa queue qui se vide. Je suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je digere son gland qui trempe dans son sperme.
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, ma tête dans le creux de son épaule, il est complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournons à la réalité.