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jeudi 04 juillet 2024 - 00h44rech / rep
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(taille reelle)
douce visite nocturne ()
Je m'étais couché tôt ce soir là. J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, je reconnu alors Marthe. Elle m'avait surpris dans mon sommeil et je feignais de rester endormi. puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Marthe était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.

Lorsque je me réveillais tôt le matin, la chambre était encore dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de nouveau de ma torpeur. Marthe s'était relevée et m'avait chevauché. Splendide. Elle avait ouvert sa chemise de nuit, et reajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. Elle me fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire luisant sur les lèvres, elle prit mon sexe bandé dans sa main et se laissa progressivement glisser sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait avec delectation sur moi en me fixant avec un regard legerement humide, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait comme dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais en elle comme un cheval, Je pétrissais ses seins, elle gémissait, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens
Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Je me crispai. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! planté au plus profond d'elle, je lâchais ma semence par salves successives. Je giclai en elle par saccades. La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs et prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula sur moi en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En se retirant d'elle, ma queue émit un indécent bruit de siphon