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mercredi 03 juillet 2024 - 23h49rech / rep
15-beau soleil interieur-10e

15-beau soleil interieur-10e
(taille reelle)
doux reveil ()

Cette minute où nous nous désenlaçâmes, avec ses yeux admirables,
valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble

Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité, enlaçés tendrement. Le lendemain, à mon réveil, me voyant découvert, elle caressa doucement mon corps. Il était brûlant. Elle m’embrassa sur l’épaule. Un second baiser, plus prolongé me mit en eveil. Elle me couvrit de baisers, il n'en fallait pas plus pour nous remettre à l'ouvrage. Elle se positionna sur moi, la soie de sa chemise de nuit s'etalait doucement sur mes flancs, ses seins se deployaient sur mon torse sensible. Elle me fixa de ses yeux legerement humides en m'aspirant en elle. Elle m'enveloppait, comme si tout son corps m'enserrait. Je me perdais en elle. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, je glissai en elle comme un doigt dans le beurre, un frottement délicat irisé de plaisir, un glissement onctueux, une penetration lente. Elle se frottait, s'empalait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs et remplissait son vagin, il s'y complaîsait comme dans une bain mielleux. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se faisait plaisir en glissant allègrement sur moi tout en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolaient nos sens. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Ses beaux seins ballottaient au contact de mon corps. Elle savourait ses propres sensations et les miennes, je voyageai en elle, je m'enfoncai en elle, profondément, goutant ses succions intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle m'affolait. Scene incroyable, là, sous ses dessous de soie que j'avais relevée sur ses hanches, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Nos tempes claquaient, la chaleur montait en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés. Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! Je me retins. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Je sentis mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Je voyais dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, ma verge dure comme du bois s'enfoncait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, puis elle jouit devant moi en serrant les dents. Elle se repris et me fusilla du regard,
- Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme. Je me sentis aspiré, je ne pus me retenir longtemps, Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa, je me libèrai en elle, sans retenue, je giclai par spasmes riches et généreux, elle suca et aspira ma queue qui se vidait. J'explosai au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupa les jambes, elle devint pantelante contre moi. Elle suca tout, ne gâcha rien, ne perdit rien. Elle digera mon gland qui trempait dans mon sperme. elle chercha à extraire toute ma semence qui libérererait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restâmes un moment inertes, tetanisés
Nous restâmes pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
Nous avons refais l'amour, longuement, merveilleusement, ne sachant meme plus nous desenlaçer. Puis, la fatigue aidant, nos corps ont commençé à se separer doucement. Cette minute où nous nous désenlaçâmes, avec ses yeux admirables, valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. Lorsque je me suis retiré d'elle, ce fut dans un delicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Nos secretions amoureuses coulaient encore entre nos cuisses imprégnées de nos ébats nocturnes. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi.
Nous avons fait l'amour longtemps, elle m'a remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'elle ressentait. J'en tremble encore de plaisir, comblé par ce corps à corps torride. Je l'imaginais passive et classique alors que je la decouvrais presque perverse et très imaginative. J'avais été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
- Tu es maintenant mon amant, tu realises ? me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement
S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la chambre, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que desormais j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant elle se révélait bien plus amante que je n’y croyais.