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jeudi 04 juillet 2024 - 00h04rech / rep
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(taille reelle)
le rythme s'accelera ()
le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées d'indecents bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, je fus prise de vertige, la transpiration perlait entre mes seins, La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
J'enserrai de mes jambes son bassin pour qu'il aille plus au fond. Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Il s'activait dans ma chair, fou d’un désir que je ne lui connaissais pas,Je l'agrippai par les épaules pendant qu'il me mordillait le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. il s'activa dans mon ventre plus rapidement. Puis je l'ai senti s'enfoncer au fond de moi. D'un coup, il s'est bloqué au fond de mes entrailles, j'ai senti son sexe se raidir, se contracter. Il poussa un cri rauque et long ... Je le tirai à moi, et son premier jet vint gicler au fond de moi, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Il jouissait dans mon corps, à me faire perdre la tête. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, je me mordillai les levres. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse, il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait.
Puis il s'affaiissa sur mon corps avec des grondements d'ours blessé. Il m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là contre moi, sa queue toujours bloquée en moi. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissai de bonheur. Je caressai amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je sentis sa verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa completement sur moi, épuisé. Je conservai dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.