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mercredi 03 juillet 2024 - 23h47rech / rep
14h-misscptr-l1-15

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(taille reelle)
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Puis il s'effondra sur moi. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'affaissa avec des grondements d'ours blessés. Je conservai un moment dans ma chair son sexe emprisonné. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui.
Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de beatitude. Je lui caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa definitivement hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.