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jeudi 04 juillet 2024 - 00h05rech / rep
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(taille reelle)
avec mon gendre ()
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ...

Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite ...

Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? me lanca-t'il de manière impudique
- tu crois que c'est serieux ? ... lui reppliquai-je affolée, tout en ajoutant aussitôt,
- au fond du couloir ! ...
Sans me repondre, il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à ma chambre. J’ai trouvé ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, deplus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance.
C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Mon gendre était toujours allongé sur moi, emboité dans mon corps, il était épuisé comme moi, il ne se retirait toujours pas. J'étais bouleversée par ce qui venait de se passer entre nous. Nos deux corps à moitié dénudés étaient toujours l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de la chambre conjugale.

Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume. Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié de rester en moi. Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Julien, desormais mon jeune amant, dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Une fois de retour chez moi, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.